Stef Ledarp a écrit :toto a écrit :Les démons de Jesus
Dikkenek
Oui ? On voit le genre de zigototo !
Pas mieux de ton côté..... tu es le seul à relever
Sinon
La merditude des choses .... bien barré mais carrément noir sur la fin.
Le coin des cinéphiles
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toto
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Pas mieux de ton côté..... tu es le seul à relever
Sinon
La merditude des choses .... bien barré mais carrément noir sur la fin.
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iPodz
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Le retour de la mort qui tue !!!
MISS PEREGRINE'S HOME FOR PECULIAR CHILDREN de Tim Burton.
Enfin on retrouve notre Burton adoré. Pas celui qui recouvre ses œuvres de tonnes d'effets numériques indigestes (PLANÈTE DES SINGES, ALICE) mais celui de ses petits freaks chéris perdus dans un conte à la noirceur délicieuse (EDWARD, BATMAN, SLEEPY).
Même si Tim insérait, de temps en temps, une petite claque politique anti-conservateur (le cauchemar pavillonnaire d'EDWARD, le jeu de massacre de MARS), la nouveauté dans MISS PEREGRINE'S HOME FOR PECULIAR CHILDREN, c'est que pour la première fois, il laisse entrer dans sa narration le coin le plus sombre de notre histoire contemporaine.
A l'instar des X-MEN: FIRST CLASS et DAY FUTURE OF THE PAST qui s'amusaient intelligemment avec notre passé commun, le dernier Burton se nourrit discrètement de la seconde guerre mondiale afin de mieux dramatiser les enjeux.
En parlant des mutants de l'écurie Marvel, il est amusant de constater que Tim nous narre ici les aventures d'un groupe d'X-MEN gothiques en proie à de terrifiants monstres assoiffés de jeunesse éternelle. Monstres et film rappelant avec plaisir le bestiaire et le sujet de l'autre réalisateur amoureux des freaks, j'ai nommé Guillermo Del Toro et tout particulièrement avec son LABYRINTHE DE PAN.
Filmage soigné, concept design ad hoc (mention spéciale aux Hollows), scènes d'envergures et saisissantes (Section sous marine, clin d'œil jubilatoire à JASON ET SES ARGONAUTES). Les acteurs sont à l'avenant, drôles et magnétiques (Green et les enfants) ou mystérieux et angoissants (Sam Jackson et ses compères).
Au bout du compte, et c'est une belle surprise, on a un devant les yeux le premier Burton adulte, voir engagé. Car comment raconter la destinée d’être particuliers, de gens différents en les identifiants clairement mais sans jamais le montrer (là est la force du film) aux millions d’êtres non conformes aux normes aryennes du régime nazi, si ce n'est en grandissant en tant qu'homme, si ce n'est en élargissant un tout petit peu son champ de vision en tant que réalisateur.
MISS PEREGRINE'S HOME FOR PECULIAR CHILDREN de Tim Burton.
Enfin on retrouve notre Burton adoré. Pas celui qui recouvre ses œuvres de tonnes d'effets numériques indigestes (PLANÈTE DES SINGES, ALICE) mais celui de ses petits freaks chéris perdus dans un conte à la noirceur délicieuse (EDWARD, BATMAN, SLEEPY).
Même si Tim insérait, de temps en temps, une petite claque politique anti-conservateur (le cauchemar pavillonnaire d'EDWARD, le jeu de massacre de MARS), la nouveauté dans MISS PEREGRINE'S HOME FOR PECULIAR CHILDREN, c'est que pour la première fois, il laisse entrer dans sa narration le coin le plus sombre de notre histoire contemporaine.
A l'instar des X-MEN: FIRST CLASS et DAY FUTURE OF THE PAST qui s'amusaient intelligemment avec notre passé commun, le dernier Burton se nourrit discrètement de la seconde guerre mondiale afin de mieux dramatiser les enjeux.
En parlant des mutants de l'écurie Marvel, il est amusant de constater que Tim nous narre ici les aventures d'un groupe d'X-MEN gothiques en proie à de terrifiants monstres assoiffés de jeunesse éternelle. Monstres et film rappelant avec plaisir le bestiaire et le sujet de l'autre réalisateur amoureux des freaks, j'ai nommé Guillermo Del Toro et tout particulièrement avec son LABYRINTHE DE PAN.
Filmage soigné, concept design ad hoc (mention spéciale aux Hollows), scènes d'envergures et saisissantes (Section sous marine, clin d'œil jubilatoire à JASON ET SES ARGONAUTES). Les acteurs sont à l'avenant, drôles et magnétiques (Green et les enfants) ou mystérieux et angoissants (Sam Jackson et ses compères).
Au bout du compte, et c'est une belle surprise, on a un devant les yeux le premier Burton adulte, voir engagé. Car comment raconter la destinée d’être particuliers, de gens différents en les identifiants clairement mais sans jamais le montrer (là est la force du film) aux millions d’êtres non conformes aux normes aryennes du régime nazi, si ce n'est en grandissant en tant qu'homme, si ce n'est en élargissant un tout petit peu son champ de vision en tant que réalisateur.
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iPodz
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En avant première (sortie française le 1er novembre):
RÉPARER LES VIVANTS de Katell QUILLEVERE.
"Le cœur a ses raisons que la raison ne connait point." La célèbre citation de Pascal tombe à point nommé pour décrire le nouveau long métrage de Katell Quillévéré. Car quoi de plus direct qu'un cœur pour raconter une histoire d'amour et de mort. Plus précisément encore, un récit qui tourne autour du don d'organe (sujet au combien douloureux) et de la transplantation cardiaque.
Dès proton-minet, on suit Simon quittant sa fiancée afin de rejoindre deux potes surfeurs pour rider quelques vagues. Au retour, c'est l'accident de la route (superbement mis hors champ) et la mort cérébral, la douleur des parents, la difficulté des instances médicales et l'acceptation du don. Vient le tour du demandeur d'organe...
Mais comme je le disais en introduction, RÉPARER LES VIVANTS de Katell Quillévéré ne s’intéresse pas qu'au malheur des uns et des autres, il suit simplement avec délicatesse et pudeur ce cœur unique et pourtant si universel.
La raison de Pascal à la base n'est pas tant l'amour que la religion. Mais est ce que ces deux notions ne sont pas définitivement inextricable ? On peut parler ici de foi plutôt que de religion. La croyance en l’être aimé, si cher à nos cœur (on y revient toujours). Qu'on soit les fils, la fille, les parents, la compagne, les équipes de cardiologues, une chose frappe alors le spectateur, c'est l'universalité des émotions et cette absence de jugement.
Le sang comme les organes n'ont pas couleur de peau, d'origine ethnique, de classe sociale ni d'age. Et c'est ce qui donne toute la puissance nécessaire à cette magnifique histoire qui ne manque définitivement pas de cœur, d'amour et d’âme.
RÉPARER LES VIVANTS de Katell QUILLEVERE.
"Le cœur a ses raisons que la raison ne connait point." La célèbre citation de Pascal tombe à point nommé pour décrire le nouveau long métrage de Katell Quillévéré. Car quoi de plus direct qu'un cœur pour raconter une histoire d'amour et de mort. Plus précisément encore, un récit qui tourne autour du don d'organe (sujet au combien douloureux) et de la transplantation cardiaque.
Dès proton-minet, on suit Simon quittant sa fiancée afin de rejoindre deux potes surfeurs pour rider quelques vagues. Au retour, c'est l'accident de la route (superbement mis hors champ) et la mort cérébral, la douleur des parents, la difficulté des instances médicales et l'acceptation du don. Vient le tour du demandeur d'organe...
Mais comme je le disais en introduction, RÉPARER LES VIVANTS de Katell Quillévéré ne s’intéresse pas qu'au malheur des uns et des autres, il suit simplement avec délicatesse et pudeur ce cœur unique et pourtant si universel.
La raison de Pascal à la base n'est pas tant l'amour que la religion. Mais est ce que ces deux notions ne sont pas définitivement inextricable ? On peut parler ici de foi plutôt que de religion. La croyance en l’être aimé, si cher à nos cœur (on y revient toujours). Qu'on soit les fils, la fille, les parents, la compagne, les équipes de cardiologues, une chose frappe alors le spectateur, c'est l'universalité des émotions et cette absence de jugement.
Le sang comme les organes n'ont pas couleur de peau, d'origine ethnique, de classe sociale ni d'age. Et c'est ce qui donne toute la puissance nécessaire à cette magnifique histoire qui ne manque définitivement pas de cœur, d'amour et d’âme.
Modifié en dernier par iPodz le 16 oct. 2016, 23:13, modifié 1 fois.
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Stef Ledarp
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Dès potron-minet , tu veux dire ? Sinon
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blues_frérots
parce qu il n y a pas que la musique
un post afin de partager vos avis sur les films recents ou anciens vus , aimés , detestés , tous styles confondus sans aucunes limitations de genre
Et parfois il y a la musique et les films
Alors, j'avoue les copains, et je méaculpate (sic
), mais j'avais un peu déserté ce fil, paresseux que je suis. Mais là,ce soir, je rentre subjugué du cinoche de ma Wafette d'amour où on passait en cette fin de week-end un film qui est pour moi le meilleur film de Rock que j'ai vu depuis "Rude Boy" 
Alors certes, connaissant mon addiction aux Clash, j'avais placé le dit "Rude Boy" sur un piédestal où il était un peu inaccessible mais quand même...
Donc, si vous avez la chance de le voir passer près de chez vous (il y a peu de salles qui le diffusent en France...) courrez voir l'histoire, comptée par le gusse himself, d'Henry Padovani guitariste fondateur de The Police et , surtout, figure incontournable du Rock Anglais (un comble pour un Corse pur souche) de ces 30 dernières années.
http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19563734&cfilm=181546.html
Punk's not dead
Modifié en dernier par blues_frérots le 30 oct. 2016, 22:41, modifié 3 fois.
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mélaudiophile
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blues_frérots a écrit :Henri Padovani guitariste fondateur de The Police et , surtout, figure incontournable du Rock Anglais (un comble pour un Corse pur souche) de ces 30 dernières années.
Salut bf,
à propos de Corses, une autre chose un peu inattendue aussi, c'est Philippe Quilichini, qui joue de la basse reggae en jamaïque avec le groupe Congo sur le génial "congo ashanti' de 1979. Il a joué ensuite avec Nico
jean
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iPodz
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Vu ce mercredi:
MADEMOISELLE de Park CHON-WOOK.
Une histoire de saphisme bien habillée, chaude à souhait mais totalement vaine au bout du compte...
Trop d'empreints, trop de référents parasitent la narration. On pense bien sûr à un Bound qui croiserait le The Housemaid (la splendide version de 1960 !) avec les différents points de vue en mode Rashomon.
Alors oui, c'est beau mais ça frime un peu trop et surtout ça tourne à vide. Et ça pour moi, ça a le gout de trop peu...
MADEMOISELLE de Park CHON-WOOK.
Une histoire de saphisme bien habillée, chaude à souhait mais totalement vaine au bout du compte...
Trop d'empreints, trop de référents parasitent la narration. On pense bien sûr à un Bound qui croiserait le The Housemaid (la splendide version de 1960 !) avec les différents points de vue en mode Rashomon.
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iPodz
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Ce matin:
DOCTEUR STRANGE de Scott "Aië" DERRICKSON.
Il est des Marvel comme ça, qui sentent le déjà-vu à plein nez, où le peu de bonnes idées se fait totalement phagocyter par la laideur de certains rendus et le n'importnawak des scènes de combats.
Pourtant ça démarre pas trop mal, belle ouverture sur une fight "Inceptionnesque" entre une Tilda "bonze" Swinton et un Mad "bad guy" Mikkelsen des plus réussi. Les immeuble basculent, se renversent, effectuent des rotations improbables, se dédoublant jusqu'à la fractale. Sauf que ça, visuellement, ça a déjà été apporté au cinéma par un certain monsieur Nolan (Inception + Interstellar). Et même si cela reste hypnotisant, ça reste de la redite pure.
Ensuite, ça stagne et ça se gâte même. A l'image de cette scène en forme de cauchemar enfantin où notre cher DOCTEUR STRANGE court à perdre haleine sans parcourir un seul mètre, le film de Scott Derrickson (responsable quand même de l'hideux LE JOUR OU LA TERRE S’ARRÊTA circa 2008) ne fera plus que du sur place.
Pire, la plupart des scènes de combats sont purement et simplement illisibles, la faute aux cadres bien trop serrés. Le concept design, notamment celui de la dimension noire, est digne de la période fluo du BATMAN ET ROBIN made in Joel Schumacher de triste mémoire. Et que dire du soit disant grand méchant (j'en ai marre de répéter l'adage d'Hitchcock sur la réussite d'un film...), Dormammu tristement réduit à un masque rassemblant bien trop au visage de Thanos.
Bref, c'est pas vraiment la création qui leur a donné du fil à retordre sur ce métrage. On reste indulgent eu égard à la pincée d'humour et au casting cinq étoiles plutôt plaisant, malgré une Rachel McAdams sous exploitée et une Tilda Swinton dont le rôle manque cruellement d'envergure. Ce docteur là souffre du mal inhérent aux petits Marvel sans envergure, sensés faire juste le lien entre les gros mastodontes du studio. Mêmes symptômes, maladies identiques, ordonnances inquiétantes.
DOCTEUR STRANGE de Scott "Aië" DERRICKSON.
Il est des Marvel comme ça, qui sentent le déjà-vu à plein nez, où le peu de bonnes idées se fait totalement phagocyter par la laideur de certains rendus et le n'importnawak des scènes de combats.
Pourtant ça démarre pas trop mal, belle ouverture sur une fight "Inceptionnesque" entre une Tilda "bonze" Swinton et un Mad "bad guy" Mikkelsen des plus réussi. Les immeuble basculent, se renversent, effectuent des rotations improbables, se dédoublant jusqu'à la fractale. Sauf que ça, visuellement, ça a déjà été apporté au cinéma par un certain monsieur Nolan (Inception + Interstellar). Et même si cela reste hypnotisant, ça reste de la redite pure.
Ensuite, ça stagne et ça se gâte même. A l'image de cette scène en forme de cauchemar enfantin où notre cher DOCTEUR STRANGE court à perdre haleine sans parcourir un seul mètre, le film de Scott Derrickson (responsable quand même de l'hideux LE JOUR OU LA TERRE S’ARRÊTA circa 2008) ne fera plus que du sur place.
Pire, la plupart des scènes de combats sont purement et simplement illisibles, la faute aux cadres bien trop serrés. Le concept design, notamment celui de la dimension noire, est digne de la période fluo du BATMAN ET ROBIN made in Joel Schumacher de triste mémoire. Et que dire du soit disant grand méchant (j'en ai marre de répéter l'adage d'Hitchcock sur la réussite d'un film...), Dormammu tristement réduit à un masque rassemblant bien trop au visage de Thanos.
Bref, c'est pas vraiment la création qui leur a donné du fil à retordre sur ce métrage. On reste indulgent eu égard à la pincée d'humour et au casting cinq étoiles plutôt plaisant, malgré une Rachel McAdams sous exploitée et une Tilda Swinton dont le rôle manque cruellement d'envergure. Ce docteur là souffre du mal inhérent aux petits Marvel sans envergure, sensés faire juste le lien entre les gros mastodontes du studio. Mêmes symptômes, maladies identiques, ordonnances inquiétantes.
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iPodz
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C'est clair que c'est alléchant et qu'il y a du boulot... wait & see...
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thierry poirier
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Hier soir, je fus au cinéma et je vis un film musical : drôle et plaisant à regarder et il y a quelques très belles platines cassettes et une platine vinyle, malheureusement trop vites aperçues
Sing Street
De John Carney
Avec Ferdia Walsh-Peelo, Lucy Boynton, Jack Reynor etc
Genre : Comédie dramatique, Musical
Date de sortie 26 octobre 2016 (1h 46min)
Dublin, années 80. La pop, le rock, le métal, la new wave passent en boucle sur les lecteurs K7, vibrent dans les écouteurs des walkmans et le rendez-vous hebdomadaire devant « Top of the Pops » est incontournable.
Conor, un lycéen dont les parents sont au bord du divorce, est obligé à contrecœur de rejoindre les bancs de l’école publique dont les règles d’éducation diffèrent de celles de l’école privée qu’il avait l’habitude de fréquenter.
Il se retrouve au milieu d’élèves turbulents qui le malmènent et de professeurs exigeants qui lui font rapidement comprendre qu'en tant que petit nouveau, il va devoir filer doux. Afin de s’échapper de cet univers violent, il n’a qu’un objectif : impressionner la plus jolie fille du quartier, la mystérieuse Raphina. Il décide alors de monter un groupe et de se lancer dans la musique, univers dans lequel il ne connait rien ni personne, à part les vinyles de sa chambre d’adolescent. Afin de la conquérir, il lui propose de jouer dans son futur clip.
http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19560102&cfilm=227018.html
Je retourne dans deux jours (dans la même salle) voir le Mal des Pierres de Nicole Garcia. J'ai vu la bande annonce et c'est moins drôle...
Gabrielle a grandi dans la petite bourgeoisie agricole où son rêve d’une passion absolue fait scandale. A une époque où l’on destine d’abord les femmes au mariage, elle dérange, on la croit folle. Ses parents la donnent à José, un ouvrier saisonnier, chargé de faire d’elle une femme respectable. Gabrielle dit ne pas l’aimer, se voit enterrée vivante.
Lorsqu’on l’envoie en cure thermale pour soigner ses calculs rénaux, son mal de pierres, un lieutenant blessé dans la guerre d’Indochine, André Sauvage, fait renaître en elle cette urgence d’aimer. Ils fuiront ensemble, elle se le jure, et il semble répondre à son désir. Cette fois on ne lui prendra pas ce qu’elle nomme « la chose principale ». Gabrielle veut aller au bout de son rêve.
Sing Street De John Carney
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Dublin, années 80. La pop, le rock, le métal, la new wave passent en boucle sur les lecteurs K7, vibrent dans les écouteurs des walkmans et le rendez-vous hebdomadaire devant « Top of the Pops » est incontournable.
Conor, un lycéen dont les parents sont au bord du divorce, est obligé à contrecœur de rejoindre les bancs de l’école publique dont les règles d’éducation diffèrent de celles de l’école privée qu’il avait l’habitude de fréquenter.
Il se retrouve au milieu d’élèves turbulents qui le malmènent et de professeurs exigeants qui lui font rapidement comprendre qu'en tant que petit nouveau, il va devoir filer doux. Afin de s’échapper de cet univers violent, il n’a qu’un objectif : impressionner la plus jolie fille du quartier, la mystérieuse Raphina. Il décide alors de monter un groupe et de se lancer dans la musique, univers dans lequel il ne connait rien ni personne, à part les vinyles de sa chambre d’adolescent. Afin de la conquérir, il lui propose de jouer dans son futur clip.
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Je retourne dans deux jours (dans la même salle) voir le Mal des Pierres de Nicole Garcia. J'ai vu la bande annonce et c'est moins drôle...
Gabrielle a grandi dans la petite bourgeoisie agricole où son rêve d’une passion absolue fait scandale. A une époque où l’on destine d’abord les femmes au mariage, elle dérange, on la croit folle. Ses parents la donnent à José, un ouvrier saisonnier, chargé de faire d’elle une femme respectable. Gabrielle dit ne pas l’aimer, se voit enterrée vivante.
Lorsqu’on l’envoie en cure thermale pour soigner ses calculs rénaux, son mal de pierres, un lieutenant blessé dans la guerre d’Indochine, André Sauvage, fait renaître en elle cette urgence d’aimer. Ils fuiront ensemble, elle se le jure, et il semble répondre à son désir. Cette fois on ne lui prendra pas ce qu’elle nomme « la chose principale ». Gabrielle veut aller au bout de son rêve.
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blues_frérots
:arrow: Sing Street
Ah ben oui Thierry, celui là je l'attends avec impatience
!! Repéré depuis près de deux mois, j'attends que Wafette le passe à l'Amicale
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iPodz
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Hello les cinephiles !!!
Voici mon weekend version courte...
LOUISE EN HIVER de Jean François Laguionie.
Une belle histoire de Robinson vif argent, d'autonomie retrouvée, de liberté gagnée à la force du poignet.
L'animation est superbe, mélangeant pastel et aquarelle sur du papier dont on voit le grain (pellicule) à l'écran...
Avec son LOUISE EN HIVER, Jean François Laguionie nous montre qu'il n'y a pas d'age pour partir à l'aventure et qu'elle n'est jamais très loin de chez soi...
ARRIVAL de Denis Villeneuve.
Quand ARRIVAL de Denis Villeneuve transforme le film d'invasion E.T. en film d'amour prescient.
Juste et beau, évitant la mièvrerie et la surenchère avec succès et avec une formidable Amy Adams portant littéralement le métrage sur ses épaules, ARRIVAL est la belle surprise S.F. de fin d'année...
Voici mon weekend version courte...
LOUISE EN HIVER de Jean François Laguionie.
Une belle histoire de Robinson vif argent, d'autonomie retrouvée, de liberté gagnée à la force du poignet.
L'animation est superbe, mélangeant pastel et aquarelle sur du papier dont on voit le grain (pellicule) à l'écran...
Avec son LOUISE EN HIVER, Jean François Laguionie nous montre qu'il n'y a pas d'age pour partir à l'aventure et qu'elle n'est jamais très loin de chez soi...
ARRIVAL de Denis Villeneuve.
Quand ARRIVAL de Denis Villeneuve transforme le film d'invasion E.T. en film d'amour prescient.
Juste et beau, évitant la mièvrerie et la surenchère avec succès et avec une formidable Amy Adams portant littéralement le métrage sur ses épaules, ARRIVAL est la belle surprise S.F. de fin d'année...
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thierry poirier
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Hier soir c'était un docufilm
La fille de Brest :
Dans son hôpital de Brest, une pneumologue découvre un lien direct entre des morts suspectes et la prise d'un médicament commercialisé depuis 30 ans, le Mediator. De l’isolement des débuts à l’explosion médiatique de l’affaire, l’histoire inspirée de la vie d’Irène Frachon est une bataille de David contre Goliath pour voir enfin triompher la vérité.
Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs
La fille de Brest :
Dans son hôpital de Brest, une pneumologue découvre un lien direct entre des morts suspectes et la prise d'un médicament commercialisé depuis 30 ans, le Mediator. De l’isolement des débuts à l’explosion médiatique de l’affaire, l’histoire inspirée de la vie d’Irène Frachon est une bataille de David contre Goliath pour voir enfin triompher la vérité.
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MANCHESTER BY THE SEA de Kenneth LONERGAN.
Comment filmer honnêtement un homme tentant de se relever tant bien que mal d'un triple deuil sans tomber dans le pathos, ni s'échouer sur les écueils du drame lourdingue à oscars ?
Comment raconter de manière originale des drames comme des poupées russes, et des souvenirs lumineux par petites touches qui nourrissent un présent ténébreux ?
Vous le saurez en allant voir le beau MANCHESTER BY THE SEA de Kenneth Lonergan.
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CD/SACD/BR OPPO BDP-103 EU + damper ARTESANIA + Feet Of Silence SOLID TECH
AMPLI/DAC HEGEL H80mk2 75w + 75w & Bfly Pure1
H.P. JMR FOLIA Jubilé + Pieds JMR Magic Stand II + Vibb Eaters ENTREQ
CABLES LEGATO Referenza Sup Spdif + Giocoso + Presenza Power + Barrette Mezzo ACTINOTE
CASQUE PHILIPS X1 + MICROMEGA Myzic
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mélaudiophile
- Audiophile
- Messages : 1275
- Enregistré le : 26 oct. 2015, 16:57
- Localisation : 65
thierry poirier a écrit :
De John Carney.
Salut Thierry,
je l'ai regardé hier soir, excellent !
On ne peut les comparer, mais le côté innocence de jeunes pour faire aboutir leur rêve m'a fait penser à "moonrise kingdom", un film absolument génial sur la fugue d'un jeune scout avec une fille http://www.allocine.fr/film/fichefilm_g ... 87864.html
juean
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blues_frérots
Salut Thierry,
je l'ai regardé hier soir, excellent !
Doublement envie de voir ce film où Phil Collins est apparemment si bien considéré
...Et pour "Moonrise Kingdom", bien d'accord avec toi Jean, c'est un film absolument magnifique
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mélaudiophile
- Audiophile
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- Enregistré le : 26 oct. 2015, 16:57
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blues_frérots a écrit :Salut Thierry,
je l'ai regardé hier soir, excellent !
Doublement envie de voir ce film où Phil Collins est apparemment si bien considéré
Salut richard,
on peut passer ce genre de film dans ton coin? Tu as de la chance.
Chez moi à ploucville c'est totalement exclu..il n'y a que le côté obscur...
jean
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blues_frérots
mélaudiophile a écrit :blues_frérots a écrit :Salut Thierry,
je l'ai regardé hier soir, excellent !
Doublement envie de voir ce film où Phil Collins est apparemment si bien considéré
Salut richard,
on peut passer ce genre de film dans ton coin? Tu as de la chance.
Chez moi à ploucville c'est totalement exclu..il n'y a que le côté obscur...
jean
Eh oui, mais moi je suis un privilégié
... En fait , comme je l'ai déjà raconté plein de fois sur ce forum et ailleurs, ma douce épouse est exploitante d'une petite salle de Cinéma à Bourgueil, et c'est aussi elle qui programme , ce qui me permet parfois d'avoir droit à quelques extras
De toutes façons pour ce genre de films elle est toujours partante la Wafette, c'est une rockeuse dans l'âme 
.J'ai notamment parlé un peu plus haut dans cette page de "Rock'n'roll of Corse" , qui d'après le distributeur (petit indépendant ) n'est pas passé ailleurs en Indre-et-Loire, et on s'est fait avec les Bluseux une projection quasi privée cet été des "Blues Brothers", c'était assez géant, d'autant que je ne l'avais jamais vu sur grand écran
J'en ai parlé là, chez Laurent, au Bar en face ==>http://blackandblue.forumprod.com/quot-the-blues-brothers-quot-au-cinoche-a-bourgueil-en-vost-t708.html
Sinon, dans ce topic, j'avais un peu parlé de ma passion pour le cinoche et en particulier du Cinéma associatif de l'Amicale, classé Art et Essai, actuellement gérer par mon épouse, c'est page 3 ==>
http://enceintesetmusiques.com/forum/viewtopic.php?f=22&t=1399&start=40
Voilà, et donc tu as l'explication du pourquoi je suis sûr que ce film, avec lequel vous me tentez, va passer bientôt dans les vignes mais sur grand écran, probablement en janvier.
Amicalement, Richard.