JMR -caisse à outil: démontage des ogives de tweeter

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Xavier - E&M
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Message non lu 08 janv. 2013, 21:12

En cas de transport des enceintes JMR à tweeter débafflé (modèles Orféo et Concorde S. exclusivement, les autres tweeter ne sont pas démontables):
Procédure de démontage


Bonjour

Pour le démontage des ogives de tweeter sur les enceintes Orféo et Concorde:
-si c'est un démontage définitif avant bennage des enceintes, munissez vous d'une masse, d'un escabeau, et faites le swing de votre vie sur terrain dégagé. (Attention au tour de rein pour ceux qui manquent de pratique de la masse en gestuelle tournoyante). N'espérez pas un trou en 1 à 150 m, mais plutôt une belle volée d'éclats xylo-plastico-métalliques en sur-place, avec un bruit mat.

-si c'est un démontage pour transport des enceintes, procédez comme suit:
Mettez en place les protections aimantées, en commençant par appliquer la rondelle métallique de chant sur le bord du trou du tweeter avant de la retenir pour l'appliquer à plat.
Mettez un tissus protecteur épais sur le haut de l'enceinte, et préparez à portée de main une petite pince fine (genre pince d'électricien). Face à l'enceinte, vous appliquez le bas de vos poignets sur le haut de l'enceinte, puis vous empaumez l'ogive à pleines mains, et vous impulsez des petits mouvements droite gauche en tirant légèrement vers le haut: l'ogive va sortir gentiment de ses clips.
Posez sur le haut de l'enceinte, maintenez d'une main l'ogive, et de l'autre, à la main ou en vous aidant de la petite pince fine, desserrez les 2 écrous.
Mettez l'ogive en sécurité sur un canapé ou dans son carton de chips, remettez rondelles et écrous sur les borniers du haut d'enceinte, puis protégez les clips sous les ogives en scotchant au scotch de peintre la cale mousse/carton d'origine, emballez l'ogive de mousse d'emballage et enfouissez l'ogive dans les chips, dans un coté de son carton en laissant la place pour sa jumelle.
Voilà, vous savez faire; il reste l'autre ogive à démonter, mais maintenant c'est un jeu d'enfant. (soigneux, le marmot !)
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