Il y a pour partie ce phénomène, cette contrainte forte qui peut briser la performance et l'objectivité des évaluations par les écoutes, tout comme elle peut induire en erreur aussi celui qui à l'opposé est persuadé de différences, quand bien même elles n'existeraient pas, ou ne seraient pas perceptibles, ou pas reconnues. Il est indispensable de se mettre en mesure d'écarter ces à-priori positifs ou négatifs (sur l'existence de différences, et dans le cas où elles sont manifestes, d'être en mesure de les caractériser (c'est faisable, avec un peu de réflexion, et d'expérience, de nombreux professionnels et amateurs y arrivent)L'emprise exercée par l'objectivisme ne pourrait-il pas empêcher celui qui s'en réclame d'entendre ce qu'il n'est pas en mesure d'expliquer?
Je pense que l'auto-proclamation ou auto qualification du terme "d'objectivistes" est complètement inappropriée, notamment en ce qu'elle écarte arbitrairement (et avec un rien de mauvaise foi) tout un pan d'investigations qui peuvent produire des évaluations objectives (l'évaluation par les sens, par l'écoute) et des résultats cohérents, sur des évaluations de faits réels, et que d'autre part elle utilise des procédés résolument non objectifs, irraisonnés et contraires aux règles scientifiques, comme d'utiliser des absences de résultats d'expérimentations en protocole ABX, ou approchant, et les proclamer comme quasi preuve d'absence de différence, alors que précisément ce protocole interdit ce type de résultat et d'interprétation (voir dans certains liens dans la liste fournie par Dominique le contenu éloquent sur ces abus et tromperies répétés suite aux tests non réussis) .