Magazine gratuit : part time audiophile

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Audiophile
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Enregistré le : 29 août 2016, 17:35

Message non lu 09 janv. 2018, 02:44

Bonjour

je vous invite a télécharger ce numéro gratuit récupéré du site : https://parttimeaudiophile.com

que vous pouvez télécharger directement ici : https://www.dropbox.com/s/rte9boou8khrm ... 7.pdf?dl=0

et y retrouver des articles très intéressants

bonne lecture

edit:

je vous copie un extrait (anglais et traduction google dessous) pour le fun

In 1948-49 the single most im- portant negative development, a er the abandonment of the single-ended triode, and the in- production of negative feedback – invented in 1928 by Telefunk- en – was the 1947 Williamson article in Wireless World that launched the foundations of the single most important theory now ruling audio design: Specifications as a measure of sonic quality.
is theory was quickly picked up by great marketers like Harold Leak, Peter Walk- er (of Quad), A.Stewart Hegeman, David Ha er and countless others.

This was, in my opinion, the most single damaging theory to be im- posed on audio design. is suggestion that sound quality, and measured quality (as exemplified by distortion, bandwidth, and noise measurements as we know them) are directly related to sound quality became the most compelling theory going.
Why? Because it is very simple, and its very simplicity makes it the most powerful marketing tool ever handed to the audio industry. It provides the manufacturer with “proof ” that his audio product is “better” than the competition. What more could you want?
It has single-handedly created the ideological basis for thousands of minute, and incremental quality reductions. In part because it has
made it possible to make products that measure the same at increasingly lower
prices, music reproduction techniques – provides a powerful substitute, and excellent surrogate to feed an unsuspecting, and gullible public seeking a music system of quality. It is this public who can be easily fooled into believing that when two products measure the same then they ARE the same, and the buying decision then becomes a simple question of price. How brutally simple, and incredibly effective.
Digital Audio is the latest ex- ample of how the highfidelity industry has distorted the concept of research, and improve- ment. Since the introduction of the Compact Disc in late 1982, the technology has entered into the usual numbers game. 20-bit is better than 16-bit, 96kHz is better than 44.1 kHz, 24-bit is better still, as is a 192kHz sampling rate, and so on. In addition to this, music is now becoming virtual, and very few custom- ers actually know what level of quality they are downloading onto their computer. Claims from the le-providing services that their les are stored using the ultimate lossless, high-resolution codec, coupled with the convenience of a song at your very finger tips makes this path a rather compelling one for
music consumers.
And does all the necessary hard- ware, and so ware upgrades necessary to play back these new le codecs make manufacturers happy or what? Believe me when I say that a critical-listen- ing session comparing high-resolution les to a well-recorded CD on a decent CD transport quickly dispels any claims of higher bitrates as just another marketing-based illusion.


En 1948-1949, le développement négatif le plus important, l'abandon de la triode à une seule extrémité et l'inopération d'une rétroaction négative - inventée en 1928 par Telefunken - fut l'article de Williamson en 1947 dans Wireless World: a lancé les bases de la théorie la plus importante qui régit aujourd'hui la conception audio: les spécifications comme mesure de la qualité sonore.
Cette théorie a été rapidement reprise par de grands spécialistes du marketing comme Harold Leak, Peter Walker (de Quad), A.Stewart Hegeman, David Haer et d'innombrables autres.

C'était, à mon avis, la théorie la plus dommageable à imposer sur la conception audio. Il est suggéré que la qualité sonore, et la qualité mesurée (comme l'illustrent les mesures de distorsion, de bande passante et de bruit telles que nous les connaissons) sont directement liées à la qualité sonore devenue la théorie la plus convaincante.
Pourquoi? Parce qu'il est très simple, et sa simplicité même en fait l'outil de marketing le plus puissant jamais remis à l'industrie audio. Il fournit au fabricant une "preuve" que son produit audio est "meilleur" que la concurrence. Que pourrais-tu vouloir de plus? Il a à lui seul créé la base idéologique pour des milliers de minutes, et des réductions de qualité supplémentaires. En partie parce qu'il a
rendu possible de fabriquer des produits qui mesurent la même chose à des niveaux de plus en plus bas
les prix, les techniques de reproduction de la musique - fournit un substitut puissant, et un excellent substitut pour nourrir un public sans méfiance, et crédule cherchant un système de musique de qualité. C'est ce public qui peut facilement être dupé en croyant que lorsque deux produits mesurent la même chose, ils sont les mêmes, et la décision d'achat devient alors une simple question de prix. Comment brutalement simple et incroyablement efficace. Digital Audio est l'exemple le plus récent de la fausseté du concept de recherche et d'amélioration par l'industrie de la haute fidélité. Depuis l'introduction du disque compact fin 1982, la technologie est entrée dans le jeu des nombres habituels. 20 bits est mieux que 16 bits, 96 kHz est mieux que 44,1 kHz, 24 bits est encore mieux, tout comme un taux d'échantillonnage de 192 kHz, et ainsi de suite. De plus, la musique devient virtuelle et très peu de clients savent quel niveau de qualité ils téléchargent sur leur ordinateur. Les revendications des services qui fournissent leurs fichiers en utilisant le codec ultime sans perte et haute résolution, associées à la commodité d'une chanson au bout de vos doigts, rendent cette voie plutôt attrayante pour
les consommateurs de musique. Et est-ce que tout le matériel nécessaire, et donc les mises à niveau nécessaires pour lire ces nouveaux codecs, rendent les fabricants heureux ou quoi? Croyez-moi quand je dis qu'une session d'écoute critique comparant des chiers de haute résolution à un CD bien enregistré sur un transport de CD décent dissipe rapidement toute prétention de débits plus élevés comme une illusion de marketing.
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