En fait, je suis parti avec une configuration bien plus légère que d'habitude: presque 9 kg de moins, ce qui est considérable. Vélo plus léger (11 kg) et chargement réduit (3 sacoches au lieu de 5) m'ont bien aidé à venir à bout des étapes les plus pentues.
) et couru 5 km . c est quand meme beaucoup plus agréable que de courir en salle ( que j arrête a la fin de la semaine de toute façon ) ou que meme faire des écoutes enfin surtout avec ce beau temps .
Courrir en salle ça me tue ... Il n'y a rien comme la course à l'extérieur. Pour moi c'est course extérieure beau temps mauvais temps et ce été comme hiver!cab33 a écrit : j ai préféré aller courir dans un beau parc prés de chez moi . j ai marché 1km pour me mettre en jambes ( mes genoux
Bonjour,cab33 a écrit : ↑25 juin 2018, 12:46oui je suis entièrement d accord avec toi mais si j ai repris a courir sur un tapis de course c est a cause de mes genoux ( opérations ) le tapis amortie les chocs mais bon vu que j arrête la salle je me décide a recourir dehors sur le dur ! par contre si je vois que mes genoux n aiment pas j arrêterais de courir
) le samedi midi, samedi soir et dimanche midi, culpabilité aidant, je suis sorti faire un petit trail de 21 km en 2h06. J'avais oublié de quoi m'hydrater et c'était pas une bonne idée. 
Quelques passages en mode "coup de mou". Mais ça fait du bien. 
meme quand j étais jeune le grand max que je courais c était 15 km maintenant c est meme plus la peine ou alors il faudrait que j ai un molosse aux fesses mais bon il me rattraperait avant 
en ce qui me concerne et ce a peu près depuis que je suis jeune adulte souvent eu des problèmes de mollets ( D et G ) douloureux qui m obligeaient a m arrêter de courir d ailleurs c est la raison majeure pour laquelle je ne courais pas plus de 15 km et majoritairement c était meme 10 km . jamais su vraiment pour quelles raisons j avais ce problème ?! médecins ou kiné ou ostéopathe aucun a qui j ai demandé n ont su m apporter une réponse ! ce qui était paradoxal c est que le karaté qui demande a etre très explosif avec les jambes et donc sollicite ( entre autres ) fortement les mollets je n avais jamais de douleurs meme si la veille j avais étais obligé d arrêter de courir pour douleurs au mollet . le corps humain est bizarre quand meme !
moi non plus
et si il y avait que ça par contre habitant près de la côte atlantique dès que c était la saison j aimais bien aller nager a l océan j aime toujours d ailleurs mais avec l âge j ai de moins en moins envie de ma taper la route et les embouteillages 
( c est de pire en pire 
) .Bonjour,
Cela dépend des lieux, et des périodes de l'année: pour la première fois, j'ai roulé en juin plutôt qu'en juillet, et je le recommande. Les juillettistes n'étant pas encore là, j'ai pu constater que les routes secondaires étaient très peu fréquentées, par exemple au fin fond des Landes. Il m'arrivait de ne croiser que 2 ou 3 bagnoles de temps en temps, un camion par ci par là, et franchement c'était bien agréable. Bien sûr, aux abords de grandes villes comme La Rochelle ou Marmande, cela redevenait l'enfer, mais enfin, à aucun moment je n'ai flippé ma race.cab33 a écrit : ↑25 juin 2018, 16:46moi non plus
habitant la banlieue proche de bordeaux moi aussi je trouve que le vélo sur route c est très dangereux
.
ah oui bien sur les landesMahavishnu a écrit : ↑25 juin 2018, 17:59Bonjour,
Et merci Noodle: de la part d'un très grand rouleur comme toi, cela me touche. En comparaison, mes petits voyages ne sont que des promenades un peu longuettes, à un rythme de sénateur asthmatique: 20 à 25 km / heure de moyenne, dans le meilleur des cas, et cette année, mes plus grosses étapes ne dépassaient pas les 140 km / jour. Aucune idée du D+, que je n'ai pas pris la peine de calculer.
Cela dépend des lieux, et des périodes de l'année: pour la première fois, j'ai roulé en juin plutôt qu'en juillet, et je le recommande. Les juillettistes n'étant pas encore là, j'ai pu constater que les routes secondaires étaient très peu fréquentées, par exemple au fin fond des Landes. Il m'arrivait de ne croiser que 2 ou 3 bagnoles de temps en temps, un camion par ci par là, et franchement c'était bien agréable. Bien sûr, aux abords de grandes villes comme La Rochelle ou Marmande, cela redevenait l'enfer, mais enfin, à aucun moment je n'ai flippé ma race.cab33 a écrit : ↑25 juin 2018, 16:46moi non plus
habitant la banlieue proche de bordeaux moi aussi je trouve que le vélo sur route c est très dangereux
Pour autant je t'accorde que la banlieue bordelaise est une folie: déjà expérimenté, à l'arrache, il y a quelques années, heureusement, maintenant, certaines voies vertes permettent d'entrer dans Bordeaux sans trop risquer sa peau.
A+
Mahavishnu.
j ai de la famille ( je suis 50% landais 50% Espagnol ) a Sabre , Trensac , Labouheyre , Ichoux et dans ma jeunesse ou je passais la plupart de mes vacances chez les uns et les autres j en ai fais du vélo et des footings on avait aussi ( enfin mes parents ) une petite maison qu on louait a Sabres pour 3 francs six sous . sinon je vais toujours régulièrement a Ichoux d ailleurs je vais y passer quelques jours au mois d août mais pas que ...........En juillet-août aussi des routes de campagne sont peu fréquentées. Expériences bagnole avec une navigation GPS en mode "trajet le plus court" ; on se retrouve fréquemment sur des itinéraires champestres désertés, hormis par les locaux des environs.Mahavishnu a écrit : ↑25 juin 2018, 17:59Les juillettistes n'étant pas encore là, j'ai pu constater que les routes secondaires étaient très peu fréquentées, par exemple au fin fond des Landes. Il m'arrivait de ne croiser que 2 ou 3 bagnoles de temps en temps, un camion par ci par là, et franchement c'était bien agréable.
Je suis "tombé" une fois sur un chevreuil. Sur une longue descente entre 2 villages (14 km) je m'étais mis comme objectif 50 km/h de moyenne. Dans une zone avec des virages roulants mais une visibilité réduite à cause d'une paroi rocheuse d'un côté de la route, le bestiau était calé bien tranquilou au milieu de ma voie de circulation. Alerte générale à bord, adrénaline à donf, faut freiner. Le cervidé s'est bougé le cul alors que j'étais à quelques mètres. J'ai fini avec une épaule dans le rocher suivi d'une rotation par la tranche avec le vélo toujours accroché aux pédales. Ça s'est passé à basse vitesse et il y avait juste le maillot déchiré et des égratignures à l'épaule.
