salut à vous
pour moi , il n 'y a pas de recette miracle
les classes de fonctionnement des amplis n 'on rien a voir la dedans
mais ,fort possible que beaucoup d'autre paramètres rentrent en jeux
la puissance de l' ampli , le rendement des enceintes , la plage correspondant au notre niveau d' écoute désiré , la dimension de la pièce d' écoute
le niveau de sortie des sources qui peuvent différencier en niveau avec des différences pouvant aller jusqu ' 40 %
j' ai deja remarqué sur différente patines cd des niveaux de sortie pouvant aller de 1.8v rms à 2.5volts rms
de plus cela dépend aussi de la courbe de fonctionnement du potentiomètre et surtout ou ce situe notre zone de niveau d écoute vis à vis de celle ci
les potentiomètre les plus couramment utilisés en audio sont des potentiomètre logarithmique
leurs courbes de résistivités ne sont pas linéaire
sur les premières positions du bouton du volume , la valeur de la résistance va fortement décroitre
ce qui va obligatoirement augmenter fortement la tension de travail des transistors ,donc l' élévation de la puissance en sortie
puis ensuite ,progressivement , cela s' atténuera
le souci que l 'on peut rencontré (souci qui est surement dû à l' un ou des facteurs précités ; sensibilité des enceintes , puissance de l' ampli etc ...)
et quand nos écoutes corresponde plutôt à la zone A et la zone B vis à vis de la courbe du potard
pourquoi ,cette forme de courbe
ben .....! d' après ce que je pense comprendre
c 'est avant tout ,pour correspondre au mieux avec notre propre courbe de perception des différences des niveaux de puissante accoustique
qui correspond donc à de différence la pression acoustique
nos oreilles perçoivent un doublement de cette pression tout les 3db
ce qui veut dire que notre courbe de perception du niveaux sonore est aussi logarithmique et non linéaire
et que pour atteinte une différence de 3 db ,il faut à chaque fois doubler la puissance (en watt ) de l 'ampli
j' ai imaginé
ce que cela donnerait avec un potentiomètre donc la courbe de résistivité serait linéaire
par exemple ,disposant d'une graduation correspondant à chaque "" cran" à 3db
dans un 1er temps , à bas niveaux d' écoute
il y aurais une grande facilité d 'affiner la puissance de restitution
ensuite cela ce compliquera à des niveaux d' écoute supérieur
à ces niveaux ,la moidre sollicitation du potentiomètre engendrerait un surcroit de puissance ingérable
ps : on ne rit pas de mon "crobar "qui suit
bon ....allez ... suis bon prince ......vous pouvez
dans ce cas ,comparativement , que faut il privilégier
une gestion facilité à bas niveaux ou à haut niveaux
tout comme Dede78 (que je salut
)
je me demande ci se souci ne serait pas dû une suite de combinaison malheureuse entre plusieurs facteurs
c 'est une question .......
l' un des membres du forum aurait il rencontré ce souci avec un ensemble hifi constitué de la même marque de marque (et gamme ) d’élément hifi
je pose la question ,car je pense qu il soit possible que dans ce cas de figure que le souci soit moins fréquent
car les concepteurs doivent surement prêter attention à la comptabilité entre leur différent élément vis à vis des différentes tensions de travaille
on, après si c'est une histoire de sensiblité du bouton qui ne permet pas un réglage assez fin... faut voir mais désolé le coup des atténuateurs 10db, je n'y crois pas des masses.
salut Pascal ( 64)
si une tension présente en entrée est plus faible , ce qu' apportera un atténuateur ;pour avoir le même niveau d' écoute cela obligera à monter la position du potentiomètre ,ce qui du cout , pourra normalement permettre de "" travailler ""au plus proche de la ""zone B "" (
)
ce qui facilitera un réglage plus fin
à + , jp
ps :: même là , j' arrive à dessiner des courbes