HEED Obelisk : retour d'expérience

Préamplificateurs, amplificateurs de puissance, intégrés ...
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Stef_passion
Audiophile
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Message non lu 31 août 2025, 14:29

Bonjour à tous,

Suite à la toute récente acquisition de l'ampli Heed Obelisk "Classic" avec son alimentation X2*, voici un premier retour succinct. (*voir ici : heed-ou-exposure-12005)

Après une quinzaine d'heures de rodage et avec l'ajout de câble secteur Esprit, la restitution générale a pris en ouverture, en ampleur, en couleurs orchestrales, en vélocité et en énergie, sans rien perdre de son aspect naturel, charnel et humain, avec une capacité étonnante à respecter les diversités sonores et artistiques selon le disque, l'enregistrement et les acteurs.

Les limites rencontrées lors de ma toute première écouter avec un câble secteur lambda ont nettement reculé : bande passante, dynamique, transparence et relief.

Cet ensemble Heed se fait totalement oublier pour laisser la place au message musical : partitions et interprétations sont mises à l'honneur. Les jeux d'écritures et les jeux d'exécution sont naturellement musicales, chantantes et diversifiées. Ses limites actuelles sont principalement dues à mon système pris dans sa globalité, et au rodage qui ne fait que commencer.

Amitiés à tous,

Stef


Source : Meridian 508 (24bits)
Ampli : Heed Obelisk Classic + alim X2
Enceintes : JMR Bliss (mk1) sur pieds lourds en fonte
Modulation : Esprit Kappa G9
Câbles HP : Esprit Bêta G9
Câbles secteur : Esprit Alpha G9
Barrette secteur: Esprit Volta

Théorbe
Audiophile
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Enregistré le : 07 déc. 2018, 15:27

Message non lu 06 sept. 2025, 13:03

Bonjour à tous,
je viens d’ajouter l’alimentation x2 à mon Obelisk Si3.
Je confirme globalement tes commentaires, sachant que le classique est un cran au dessus du Si3.
J’ai deux câbles secteur Furutech.
Changement notable avec le X2, on perd le côté chaleureux pour quelque chose de plus analytique.
On gagne en clarté surtout dans le médium qui du coup, je trouve, devient peut-être un peu trop en avant.
Les graves descendent plus bas et sont beaucoup plus nets.
La scène gagne en profondeur et en largeur.
Le plus marquant, est sans doute cette foule de détails en plus. Le son est plus « live ». Toujours cette musicalité bien présente, qui fait que comme tu l’as constaté sur certains enregistrements l’émotion peut être très forte.
J’ai eu ça sur « Idéal circus » d’édouard Bibeau.

Par contre l’ensemble est impitoyable sur les mauvais enregistrements, c’est fondamentalement dégeulasse. Mais je pense que plus on monte en gamme moins cela pardonne.
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