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21 janv. 2021, 22:11
Je viens de ressortir le sda 200 signature pour comparer sa partie amplification (in 200 signature) au Eci 6 mk2. Sur les Joy, le tout branché en rca (même câble) sur le 3d lab.
Le Sda est rodé depuis longtemps, l’électro est encore un jeunot à qui il manque de longues heures de route.
Évidemment ce sont deux amplis qui ne sont pas censés boxer dans la même cours. Et ça se confirme à l’écoute.
Le sda est dans la démonstration avec une forte macro dynamique et une mise en avant des médiums. L’électro est bien plus subtil, rien ne semble dépasser, c’est très cohérent. On retire aussi un voile numérique, les timbres sont plus réalistes, les silences, les nuances, les inflections, les fins de notes, tout prends une belle dose de naturel.
Les graves sont mieux tenus, tendus.
La scène sonore est beaucoup plus cohérente, plus large, mieux étagée, chaque pupitres bien mieux détourés. Je discerne plus de micro informations aussi.
Avec le sda je dois baisser le son car certains sont trop projetés et en même temps à trop bas volume je perds en dynamique et en réalisme d’écoute.
Avec l’électro je peux monter plus le son et garder une très belle cohérence des registres et douceur générale. Et en même temps à faible volume l’écoute reste très réaliste.
Enceintes :
- switch sotm snh10g (avec horloge)
- 3D lab nano player signature V5 avec alim linéaire sotm sps 500
- cable de modulation eos se
- Electrocompaniet Eci 6 mk2 en amplification (çable secteur Etna)
- Enceintes bibliothèque T&T Joy (cables hp la scala se)
Casque :
- Ampli casque à tubes Auris Ha2 se (tube preamp telefunken gold pins 6211)
- Casque Kennerton Thekk (cable Vectura C de Pierre PAYAT et lazuli référence)