Le coin des cinéphiles

[DJ Xav]

Bonsoir les amis,

Ce soir c’était soirée nanar de série Z avec quelques amis. Nous avons visionné Pervert! ( https://www.allocine.fr/film/fichefilm_ ... 30513.html ) que j’avais eu avec un Mad Movies. Je ne l’avais pas revu depuis (ça fait au moins 15 ans) mais je m’en souvenais plutôt bien

Si vous aimez Wallace et Gromit et le motion capture en général ce film devrait vous plaire.

Bonne fin de soirée,
DJXav

[Bène7]

Bonjour à tous,

En ce moment il y a un cycle Jim Jarmusch sur Arte.
Night On Earth : un vrai régal dont une séquence haute en couleur avec Roberto Begnini.
Dead Man : avec Johnny Depp, un film de « passage » sublimé par le noir et blanc.

[iPodz]

Si vous aimez Wallace et Gromit et le motion capture en général ce film devrait vous plaire.

En parlant de stop-motion, pâte à modeler et autres effets visuels... je vous invite à mater l'OFNI le plus dingo de ces dernières années !
MAD GOD de Phil Tippett.


C'est l’œuvre d'une vie, celle du génie des effets spéciaux des années 80/90 Phil Tippett (Star Wars le Rancor c'est lui, Robocop le ED-209 c'est encore lui, Jurassic Park, Starship Troopers), fan inconsidéré de la légende Ray Harryhausen.
Mad Dog à mis une trentaine d'années à arriver sur nos écran mais ça valait la peine d'attendre...
C'est sombre, noir, cauchemardesque, anxiogène, fascinant, exubérant, monstrueux, foisonnant, gore et poétique, inventif et fou, nihiliste et terriblement humain.
1h20 de cinéma, 1h20 de création, une vision au sens hallucinatoire d'1h20 comme on en voit peu dans une vie.

[iPodz]

Comme un fait exprès, ce soir je rattrape 14 ans de retard en découvrant:

PANIQUE AU VILLAGE de Stéphane Aubier and Vincent Patar.


Stop-motion du bricolo, animation image par image de pacotille, les figurines de plastique de notre enfance prennent vie d'une manière totalement haché, bancal, hésitante et hystérique.
Si vous aimez l'absurde, le grand n’importe quoi et la belgitude, ce film d'animation est fait pour vous.
Totalement inracontable, vous suivrez les aventures de Cheval, Cowboy et Indien à la poursuite de leur maison dans les airs comme sous l'eau.
Une très grande aventure proche du grand huit et du bazar intégrale mais qui fout la patate et vous colle le sourire pour le restant de la journée.

[iPodz]

Et encore une dinguerie animée (j'vous jure, j'fais pas exprès !):

SPIDER-MAN: ACROSS THE SPIDER-VERSE de Joaquim Dos Santos, Justin K. Thompson, Kemp Powers.


Après avoir encaissé, digéré et apprécié le premier opus des aventures ultra graphique de Miles Morales sortie en 2018, on était en droit de se demander si un tel niveau de créativité et de révolution dans le dessin animé allait être réitéré avec sa suite.
La réponse est sans appel: oui, 1000 fois oui !!!
Que vous aimiez ou pas les super héros, vous allez être - et ce dés ses 20 premières minutes ébouriffantes - happé, avalé, hypnotisé par l’énergie, le fun, les trouvailles de chaque instant habitant le cadre de ce film.
Entre les différents styles graphiques traduisant les multiples états psychologiques des protagonistes, la puissance charismatique des personnages, la virtuosité de la mise en scène, sa lisibilité à toutes épreuves (et ce malgré la vitesse d’exécution et le fourmillement des spidey), la sur-dose de fun et d'enjeux, Across The Spider-Verse explose tous les codes, atomise toutes les limites imposées par 80 ans d'animation, ouvre un champ des possibles qui ridiculise la majorité des blockbusters de ces dernières années.
Vous ressortirez de là tel un gosse sortant d'un rollercoaster et affichant une banane pleine d’adrénaline.

[iPodz]

MEGALOMANIAC de Karim Ouelhaj.


Extrapolant la vie des enfants imaginaires du dépeceur de Mons, célèbre affaire de serial killer des 90's, Ouelhaj offre avec Megalomaniac une plongée dans la transmission du mal.
Suivant le fils qui reprend pour ainsi dire les affaires du père - chasseur de femmes isolées et en difficultés - le métrage se concentrera sur la sœur, coincée entre le dégout de son corps, sa schizophrénie et ses viols à répétition à l'usine de nuit, le film réussi quelques plans fantasmagoriques et cauchemardesques mais échoue à trop vouloir esthétiser le crapoteux, à transformer la merde en or.
Megalomaniac évite le piège du torture porn ou du serial K gorasse mais loupe en parti sa cible à force de clinquant et de chichi dans sa mis en scène (mouvements de grue inutiles).
Un bout de péloche Belge à considérer et un cinéaste à surveiller.

[iPodz]

LES 3 MOUSQUETAIRES: D'ARTAGNAN de Martin Bourboulon.


Tentative XXL de relancer les grands classiques cinématographiques en costumes (après le dernier Asterix), Bourboulon parviens à moitié à son but.
Le casting est plutôt bon, les 4 sont cohérent et vont bien ensemble, le restant tenant son rang. La photographie est plutôt belle, le rythme équilibré et emballé.
Malheureusement, le film démarre trop vite ne prenant jamais le temps de développer ses mousquetaires, ce qui fait qu'on entre jamais vraiment dans le film.
Les scènes d'action en plus d’être souvent filmées dans la pénombre, en deviennent illisible de part le choix technique du plan séquence qui annihile à coup sûr l'impact des coups et la beauté des chorégraphie... inexistantes ici. Doit-on parler de l'implication physique faiblarde des 3/4 des épéistes ?
Si on rajoute un Porthos à voile et à vapeur et une Constance jouée par Lyna Khoudri pour faire moderne et contenter tout le monde, on atteins très rapidement les limites du blockbuster à la française.
Bref, pour un dimanche soir de feignasse ça passe... pour voir du vrai cinéma, on repassera.

[DJ Xav]

Si on rajoute un Porthos à voile et à vapeur et une Constance jouée par Lyna Khoudri pour faire moderne et contenter tout le monde

Bonjour ipodz,

Peux-tu développer ces arguments? Autant je suis d’accord que passer plusieurs minutes à être balourd sur la bisexualité de Porthos n’apporte pas grand chose au film (il aurait pu être simplement homosexuel sans en faire des caisses, ici c’est presque aussi lourd que camping 3 qui est pour moi le summum de la beaufitude dans l’évocation de l’homosexualité) autant j’ai trouvé Lyna Khoudri convaincante en Constance: elle est séduisante et parfaitement crédible. Si c’est de la discrimination positive, c’est bête parce qu’elle n’en a pas besoin, c’est une excellente actrice (en tout cas dans ce film, je ne connais pas les autres).

Bonne journée,
DJXav

[iPodz]

Si on rajoute un Porthos à voile et à vapeur et une Constance jouée par Lyna Khoudri pour faire moderne et contenter tout le monde

Si c’est de la discrimination positive, c’est bête parce qu’elle n’en a pas besoin, c’est une excellente actrice (en tout cas dans ce film, je ne connais pas les autres).

Bonne journée,
DJXav

Ben c'est exactement ça, mais ce n'est en aucun cas la faute de Lyna, qui est très sympathique dans ce rôle... c'est juste que les excès d'un certain wokisme aboutissent très souvent à du grand n'importe quoi historique, sous prétexte bien évidemment de rééquilibrer la balance (de la justice).

[Hifitub]

Si on rajoute un Porthos à voile et à vapeur et une Constance jouée par Lyna Khoudri pour faire moderne et contenter tout le monde

Si c’est de la discrimination positive, c’est bête parce qu’elle n’en a pas besoin, c’est une excellente actrice (en tout cas dans ce film, je ne connais pas les autres).

Bonne journée,
DJXav

Ben c'est exactement ça, mais ce n'est en aucun cas la faute de Lyna, qui est très sympathique dans ce rôle... c'est juste que les excès d'un certain wokisme aboutissent très souvent à du grand n'importe quoi historique, sous prétexte bien évidemment de rééquilibrer la balance (de la justice).

Je ne vois pas le problème alors, dans ce cas Isabelle Adjani n'aurait jamais pu exprimer tout son talent .
Peut être faudrait il ne pas sur-interpréter cette tendance woke culture ?

[iPodz]

LA GRAVITE de Cédric Ido.


Petit film de banlieue boosté au genre made in France, La Gravité offre une nouvelle vision des quartiers à la sauce mystique et astrophysique.
Ido plombe quand même un poil son métrage avec une symbolique un peu trop insistante mais gère clairement ses thématiques, ses espaces et son style.
Et avec ses 1h20 (hors générique), il tient son rythme de façon admirable, oscillant pour le plus grand étonnement du spectateur entre le film de traffic, la pellicule bourre-pif et celui de la secte influencé par des forces astrales.
Bref, c'est élégant, bien joué et étonnant à plus d'un titre, Cedric Ido est à suivre.

[iPodz]

LE DERNIER VOYAGE DU DEMETER d'André Øvredal.


Voici le retour de l'inusable comte Dracula mais dans un des épisodes les plus humide du roman de Bram Stocker, c'est à dire sa traversée maritime incognito sur le Demeter de Roumanie à Londres.
On entr'aperçoit ce voyage macabre le temps de quelques plans fulgurants dans le film de Coppola, séquence pleine de bruits et de fureur.
Et malheureusement, c'est ce qui manque cruellement ici. Pas que le film soit une véritable honte, il reste quelques beaux plans larges du navire pris dans la tempête et les éclairs, faisant penser à certaines toiles romantiques et tourmentées. Il y a bien encore une ou deux apparitions assez gothiques de la chauve souris entre deux cordages et trois voiles.
A part ça, vu la pauvreté des dialogues et de la caractérisation des personnages, on se fout totalement de qui va disparaitre en premier... et en dernier aussi. Le suspense avance avec ses grosses ficelles et ses gros sabots, l’excès par moment de bon sentiment (cette fin touchy) et le fait que le Demeter s’échoue (à l'image du film) et non qu'il entre au port tel un vaisseau fantôme achève de mortifier le spectateur qui prend conscience du rendez vous totalement manqué.
Pourtant Øvredal avait réussi à nous surprendre avec son TROLL HUNTER délirant et le très léché SCARY STORIES, mais là il est plutôt dans la veine de son super décevant JANE DOE IDENTITY.
Espérons que pour sa prochaine pelloche, il soit en haut de la vague.

[iPodz]

THE BOOGEYMAN de Rob Savage.


Savage est l'auteur de l'horripilant HOST, film de frousse moisi opportuniste appartenant au sous sous genre "horreur post-Covid" et quand on voit son BOOGEYMAN, on se dit qu'il revient de loin.
Pas que son croquemitaine soit un chef d’œuvre mais il fait carrément bien son job... mais sans originalité.
Le tempo est soutenu (surtout dans sa 1ere heure), le film ne dépasse pas 1h30 (un exploit de nos jours !), les persos attachants (même si Stephen King a été modifié grave), la tension et le mystère plutôt efficace, les jumps scares et autres ficelles se font plutôt rares, le travail sonore intéressant, bref ça se laisse agréablement regarder.
Reste à espérer que Rob Savage continue sont ascension vers des lendemain qui chantent.

[iPodz]

INDIANA JONES ET LE CADRAN DE LA DESTINEE de James Mangold.


Après un opus signé tonton Steven qui était aux 3/4 flamboyant mais avec une fin ressemblant à une cuvette de toilette lorsqu'on en tire la chasse, doit-on se réjouir d'un énième retour du plus célèbre des archéologues ?
Ben le résultat est mi figue mi raisin...
L'aventure est certes enlevée, foisonnante, multiple, passionnante quand elle court après les génies de l'Antiquité mais elle est régulièrement gâchée par un trop plein d’excès ainsi que par une utilisation de CGI, notamment ceux qui effacent les rides de nos stars vieillissantes.
Le film de Mangold est atteint du syndrome Mission Impossible: Fallout.
La saga de Tom Cruise arrivait dans ses 5 premiers épisodes à se renouveler sans jamais radoter, nous proposant des séquences toujours plus ébouriffantes en y ajoutant même de l'humour (merci Simon Pegg). Sauf qu'avec Fallout, elle commence à se retourner sur ce qu'elle a fait depuis 20 ans, fan-service en mode ON et surtout en approchant des 2H30 avec de la surenchère pas toujours payante.
Et ben chez papy Jones, on retrouve les mêmes scories, soit des séquences clairement too much comme la course poursuite à Tanger, des redites et des clins d’œil aux métrages précédents et surtout, une crème rajeunissante numérique qui vous sort du film une image sur deux (voir la belle ouverture du film).
Le vrai cadeau bonux du Cadran De La Destinée, c'est le rôle tenu par la pétillante Phoebe Waller-Bridge incarnant la nièce d'Indiana, elle contre-balance merveilleusement la fatigue du héros, relançant allégrement les péripéties vers de nouvelles hauteurs, apportant son charme et sa répartie très "Fleebag" absolument irrésistible.
Au point que, quand le film se termine, on se surprend à vouloir la voir revenir pour porter le flambeau du sérial d'aventures comme Lang ou Spielberg ont pu nous l'offrir avec Le Tombeau Hindou ou L'Arche Perdue.

[thierry94]

Bonne reprise a tous allez en salle ; "la magie" du Cinéma

Anatomie d’une chute De Justine Triet (Kosmos)
Palme d'Or du Festival de Cannes 2023 Sandra, Samuel et leur fils malvoyant de 11 ans, Daniel, vivent depuis un an loin de tout, à la montagne. Un jour, Samuel est retrouvé mort au pied de leur maison. Une enquête pour mort suspecte est ouverte. Sandra est bientôt inculpée malgré le doute : suicide ou homicide ? Un an plus tard, Daniel assiste au procès de sa mère, véritable dissection du couple.
Avis: 6/10 - ma compagne 6/10 La Palme d'Or heu dubitatif

Oppenheimer De Christopher Nolan (Kosmos)
En 1942, convaincus que l’Allemagne nazie est en train de développer une arme nucléaire, les États-Unis initient, dans le plus grand secret, le "Projet Manhattan" destiné à mettre au point la première bombe atomique de l’histoire. Pour piloter ce dispositif, le gouvernement engage J. Robert Oppenheimer, brillant physicien, qui sera bientôt surnommé "le père de la bombe atomique". C’est dans le laboratoire ultra-secret de Los Alamos, au cœur du désert du Nouveau-Mexique, que le scientifique et son équipe mettent au point une arme révolutionnaire dont les conséquences, vertigineuses, continuent de peser sur le monde actuel…
Avis: 7/10 - ma compagne 7/10

LES ALGUES VERTES De Pierre Jolivet (Kosmos)
À la suite de morts suspectes, Inès Léraud, jeune journaliste, décide de s’installer en Bretagne pour enquêter sur le phénomène des algues vertes. À travers ses rencontres, elle découvre la fabrique du silence qui entoure ce désastre écologique et social. Face aux pressions, parviendra-t-elle à faire triompher la vérité ?
Adaptation des algues vertes - l’histoire interdite, la bande dessinée d’Inès Léraud et Pierre Van Hove, tirée de l'enquête menée par Inès Léraud sur le scandale des algues vertes.
Avis: 6/10 - ma compagne 7/10

STRANGE WAY OF LIFE De Pedro Almodóvar (Kosmos)
Strange Way of Life est également proposé en salles dans le programme " L'Expérience Almodóvar " où il est suivi d’un second court métrage La Voix humaine. Rendez-vous sur la fiche dédiée L'Expérience Almodóvar pour plus de séances disponibles.

Silva traverse le désert à cheval pour retrouver Jake qu’il a connu vingt-cinq ans plus tôt lorsqu’ils étaient tous deux tueurs à gages. Silva souhaite renouer avec son ami d’enfance désormais shérif mais ces retrouvailles ne sont pas sa seule motivation…
Avis: 4/10 - ma compagne 4/10

Equalizer 3 De Antoine Fuqua
Depuis qu'il a renoncé à sa vie d'assassin au service du gouvernement, Robert McCall peine à faire la paix avec ses démons du passé et trouve un étrange réconfort en défendant les opprimés. Alors qu'il a trouvé son havre de paix dans le sud de l'Italie, il découvre que ses amis sont sous le contrôle de la mafia locale. Quand les événements prennent une tournure mortelle, McCall sait ce qu'il doit faire : protéger ses amis en s'attaquant à la mafia.
Avis: 3/10

[DJ Xav]

Bonsoir les amis,

Cet après-midi nous sommes allés voir Mystère à Venise. Nous ne connaissions pas le roman et avons bien aimé le film. Quelques jeunes n’avaient jamais dû voir d’adaptation d’Agatha Christie et ont quitté la séance en plein milieu. C’est vrai qu’un huis-clos de nuit de 1h45 dans une grande maison quasiment vide c’est un peu austère. La photo est magnifique et la balade à Venise au début du film était très sympa, on s’y serait cru. Les rebondissements justifient un long métrage. Le film aurait peut-être pu être un tout petit peu plus court mais comme il y a pas mal de personnages, du temps était nécéssaire pour bien les appréhender.

Vivement la prochaine séance,
DJXav

[iPodz]

ASTEROID CITY de Wes Anderson.


Dans le dernier Wes Anderson, on retrouve tout ce qui fait la particularité si étrange de son cinéma, soit l'amour de la maquette (très réussi), des décors théâtraux (superbe photographie), ses mouvements d'appareil si typique (travellings, rotations), des adultes immatures, des enfants surdoués, des familles dysfonctionnelles voir décomposées, une nouvelles famille en construction, des répliques aux cordeaux, de l'animation en stop-motion, etc, etc
Sauf que là, hormis un travail sur les couleurs et les décors superbes, rien ne marche, tout est chiant.
On ne s’intéresse jamais à ce trou perdu d'Americana, à cette pièce de théâtre qui n'aurait finalement jamais dû voir le jour, à cet alien qui se fout de nous.
Et puis il y a l'humour... où est-il passé ???
Où sont les personnages ridicules mais finalement touchants (familles Tenenbaum), où sont les situations absurdes hilarantes (le braquage de La Vie Aquatique) ? Où sont les ruptures de tons irrésistibles ?
Et que dire de ce casting 1000 étoiles qui ne sert à rien... pourquoi Hanks ? A quoi sert Carell ?? Et le cowboy ???
Déjà son The French Dispatch frôlait l'ennui et l'artifice pour l'artifice, là seule les couleurs sont à sauver mais un arc en ciel ne fait pas un bon film.

[DJ Xav]

Bonsoir,

Cet après-midi je suis allé voir Dogman de Luc Besson (2023) avec ma chère et tendre. Le début est assez déroutant : le personnage Dogman ne ressemble pas à grand chose, l’atmosphère est lourde et le film peine à démarrer. Heureusement la suite est plus homogène, le récit se densifie. Il faut bien 1h / 1h15 avant de ressentir un peu d’empathie pour le héros.

J’ai trouvé le passage « chouinage » franchement long et lourd, il aurait pu être plus subtil.

Au final nous avons bien aimé le film, ma chère et tendre envisage même de retourner le voir avec ses amis.

Vivement la prochaine séance,
Bonne soirée,
DJXav

[thierry94]

Aie Aie ... gros rattrapage

Les Feuilles mortes De Aki Kaurismäki (Kosmos)
Deux personnes solitaires se rencontrent par hasard une nuit à Helsinki et chacun tente de trouver en l’autre son premier, unique et dernier amour. Mais la vie a tendance à mettre des obstacles sur la route de ceux qui cherchent le bonheur.
Avis: 5/10 - ma compagne 6/10

Le Livre des solutions De Michel Gondry (Kosmos)
Marc s'enfuit avec toute son équipe dans un petit village des Cévennes pour finir son film chez sa tante Denise. Sur place, il se lance dans l’écriture du Livre des Solutions, un guide de conseils pratiques qui pourrait bien être la solution à tous ses problèmes…
Avis: 4/10 - ma compagne 4/10

Un métier sérieux De Thomas Lilti (Kosmos)
C’est la rentrée. Une nouvelle année scolaire au collège qui voit se retrouver Pierre, Meriem, Fouad, Sophie, Sandrine, Alix et Sofiane, un groupe d’enseignants engagés et soudés. Ils sont rejoints par Benjamin, jeune professeur remplaçant sans expérience et rapidement confronté aux affres du métier
Avis: 5/10 - ma compagne 6/10

L'Arbre aux papillons d'or De Pham Thiên Ân (Kosmos)
Après la mort de sa belle-sœur dans un accident de moto à Saigon, Thien se voit confier la tâche de ramener son corps dans leur village natal. Il y emmène également son neveu de 5 ans, Dao, qui a miraculeusement survécu à l’accident. Au milieu des paysages mystiques de la campagne vietnamienne, Thien part à la recherche de son frère aîné, disparu il y a des années, un voyage qui remet profondément en question sa foi.
Avis: 3/10 - ma compagne 3/10 encensé par la critique 2h58' !

Toni en famille De Nathan Ambrosioni (Kosmos)
Antonia, dite Toni, élève seule ses cinq enfants. Un job à plein temps. Elle chante aussi le soir, dans des bars, car il faut bien nourrir sa famille. Toni a du talent. Elle a enregistré un single qui a cartonné. Mais ça, c’était il y a 20 ans. Aujourd’hui ses deux aînés s’apprêtent à rejoindre l’université. Alors Toni s’interroge : que fera-t-elle quand toute sa progéniture aura quitté le foyer ?
Avis: 7/10 - ma compagne 7/10

Le Grand chariot De Philippe Garrel (Kosmos)
Le Grand Chariot est une constellation d’étoiles. C’est aussi un théâtre de marionnettes. C’est l’histoire d’une famille de marionnettistes, une fratrie, Louis et ses deux soeurs, Martha et Lena, leur père qui dirige la troupe et la grand-mère qui a fabriqué les poupées.
Avis: 5/10 - ma compagne 5/10

Caillou, chou, hibou De Ana Chubinidze, Lilit Altunyan, Jaimeen Desai (Kosmos)
Cinq films faits de dessins, de papier, de peluche, pour se raconter des histoires imaginaires, pour sécher ses larmes entouré d’amis, pour aimer l’école… et même la soupe !
Avis: 5/10 - ma ptite fille 7/10


The Creator De Gareth Edwards (UGC)
Dans un futur proche, humains et intelligence artificielle (IA) se livrent une guerre sans merci. Soldat américain infiltré en Asie, Joshua est chargé de retrouver une arme créée par une IA et la détruire. Mais il découvre que l’arme en question n’est autre qu’une petite fille de 6 ans.
Avis: 5/10 IA & Humanoïdes pour iPodz musique Hans Zimmer

[iPodz]

The Creator De Gareth Edwards (UGC)
Dans un futur proche, humains et intelligence artificielle (IA) se livrent une guerre sans merci. Soldat américain infiltré en Asie, Joshua est chargé de retrouver une arme créée par une IA et la détruire. Mais il découvre que l’arme en question n’est autre qu’une petite fille de 6 ans.
Avis: 5/10 IA & Humanoïdes pour iPodz musique Hans Zimmer
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Il est dans ma ligne de mire...