Atchoum a écrit :Je n'ai encore jamais eu (en CD) de 24 bits avec un DR nécessiteux, indigent et crève-la-faim.
J'aimerais bien en entendre le résultat et je pense (vu comme sonne un album "bien travaillé", Clark Terry c'est du DR 25 à l'oreille ;o) que ce doit être considérablement chiant.
Je l'ai déjà écrit quelque part ailleurs : si un musicien laisse faire ce genre de chose alors il ne respecte ni son travail ni lui même en temps qu'artiste.
Bonjour,
Du 24 bits avec du DR raplapla il en traîne des 10zaines en vente dans toutes les crèmeries...
Un exemple parmi tant d'autres... :
Certains sites (qobuz...) utilisent, entre autre, du Daft Punk pour leurs tests :
La version numérique PCM 24/88 a un DR8
La version vinyle (extraction directe en DSD ou en PCM24/192) => DR12
L'argument selon lequel la musique électronique nécessiterait une forte compression ne tient pas...
Autre exemple ... JM Jarre "Oxygene" version de 76 DR12, version MFSL (CD, 16 bits) DR10, version remaster HD 24/48 de 2015 : DR6
Perso, pour Daft Punk... je m'en fiche un peu je ne fais pas, pas du tout même, partie des adeptes..., pour JMJ non plus vu la qualité indigente de ses derniers albums...
Mais on a ici 2 bons exemples de l'impact du marketing sur la qualité sonore des albums, en tout cas pour certains labels/"artistes" :
Pour jarre il s'agit de faire comme tout le monde et de compresser de plus en plus => gros son
Pour DP il s'agit d'une tendance récente à une segmentation du type : la daube en numérique, le bon en vinyle. => foutage de g****e
Tant mieux pour les vinyleux adeptes de musiques actuelles.
Maalouf est la preuve que cette tendance gagne certains labels et/ou artistes jazz également, heureusement en jazz cela reste minoritaire, mais il y a chez ACT, Blue Note, chez certains artistes français connus etc... des album à DR très moyen pour du jazz (8 à 10).