Message non lu
31 août 2016, 12:32
Pour ne pas entrer aussi dans la polémique, la structure cristalline du conducteur a une très grande importance: longueur des cristaux et taux d'impuretés. De même l'interaction conducteur / isolant polarisable/ conducteur réalise un condensateur. Tous les isolants sont isolants, mais tous sont plus ou moins polarisables... Ca, c'est pour un conducteur monobrin, pour un multibrin, c'est bien pire si chaque brin n'est pas isolé proprement, car se surajoute les phénomènes de décharge d'interface bien démontré par Jean Hiraga and co.
Si en sus, on considère un monobrin de conducteur dont la pureté n'est pas parfaite, ce qui est toujours le cas, mais plus ou moins, se surajoute encore les décharges d'interface entre les cristaux de conducteur et les impuretés.
Evidemment, l'effet condensateur, les décharges de surface sont des valeurs assez peu mesurables ( sauf pour les décharges d'interface des contacts ), mais le sigma est fonction de la longueur, et devient suffisamment important pour modifier le comportement de l'amont et de l'aval.
C'est exactement ce qui est observé par l'usage de câbles USB dans un système audiophile. Ce ne sont pas les datas qui sont modifiés, mais le comportement de l'émetteur et du récepteur, sans parler de la pollution injectée via le 5,06 volts des divers "PC".
Hifi: Drive CEC sur plots CRIOS/ EmmLabs NS1 sur plots NSE > Toslink Lifatec, DAC MA1 sur plots CRIOS, Ampli Godlmund 390, enceintes Apertura Variation SE, caisson Velodyne DD18, Meuble CENTAURE, tous câbles Stendahl Cables.
HC: Oppo 93 plots CRIOS, ampli HC Marantz SR5007, voie centrale et Ar milieu: Apertura, voies AR JMR. voies LFE: 2 caissons Cabasse Thor.
Projo: JVC iDLA1. Salle traitée acoustiquement ( Schroeder, Bass trap, etc...)