séries US ....

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THE LAST OF US de Neil Druckmann et Craig Mazin.


La série événement du moment, adaptation du jeu vidéo (je ne suis pas gamer) encensé à travers le monde.
Elle vaut le coup d’œil principalement pour le soin apporté à l'écriture (on est souvent touché au cœur) et à la photographie/concept design.
Les acteurs - Pedro Pascal et Bella Ramsey - sont au top et parfaitement à l'unisson. Les seconds rôles n'ont régulièrement pas à rougir.
L'ouverture de l'épisode 1 et 2 sont d'une efficacité glaçante qui fait véritablement froid dans le dos.
Ensuite la série a globalement du mal à trouver son rythme.
On passe de chapitre d'une heure quinze à des épisodes d'à peine 42 minutes.
A chaque numéro de nouveau perso sont introduit pour être sorti de la narration aussi sec.
Les infectés au champignon "zombie" font quasi de la figuration.
On retrouve souvent les poncifs visuels du film post-apo.
Mais faut souligner vraiment la perf des deux acteurs principaux qui tiennent l'ensemble à bout de bras et injectent à l'ensemble le minimum d'humanité que ce monde à besoin.

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FOR ALL MANKIND de Ronald D. Moore et Ben Nedivi.


Et si les Russes avaient posé les premiers le pied sur la lune ?
Voici le postulat de départ vertigineux de cette uchronie quasi parfaite.
Tout dans FAM est fascinant de crédibilité, que ce soit la vision sociale qui évolue au grès de la compétition inversée qui se déroule sous nos yeux, ou bien les diverses situations géopolitiques plus ou moins tendues qui viennent parasiter les velléités des scientifiques de la Nasa.
La paranoïa est omniprésente, l’ingérence des politiques dans les affaires des scientifiques est captivante, la manipulation des images d'archives (Nixon, Reagan) lors des interventions télévisuelle sont véritablement bluffante !
La place des femmes et des minorités est primordiale dans cette série injustement sous estimée, qui n'oublie pas au passage d'un épisode de payer son hommage à Star Trek.
Dans cette période de nouvelles envies de lune et de Mars, cette nouvelle course aux étoiles mené par Musk et Bezos, ce petit bijou de série spatial un peu spéciale risque de vous mettre en lévitation.

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YELLOWJACKETS de Ashley Lyle et Bart Nickerson.


Comment garder secret le tabou ultime enfoui au fond des bois de votre adolescence alors qu'il y a du blé facile à se faire en le divulguant ?
La promesse d'un buzz bien gras et dégueu menace 25 ans après les survivantes d'une équipe de soccer crashées avec leur avion en pleine foret alors qu'elles se rendaient du New Jersey à Seattle.
Ou comment, alternativement sur deux timeline distinctes (1996 et 2021), quatre rescapées vont se révéler de moins en moins ménagères modèles et de plus en plus névrosées boderline.
La série oscille entre la nostalgie façon STRANGER THINGS mais en moins fan service putassier, le survival de sorcières, le tout saupoudré de mysticisme frôlant le culte occulte.
Là encore les actrices (Ricci et Lewis particulièrement) sont en très grande forme.
Les surprises et rebondissements ne manque pas, l'humour est souvent noir et la forme - aller/retour temporel - très réussi, ce qui donne du rythme à l'ensemble des 10 épisodes.
Une constante dans les trois séries citées ce jour, la qualité apportée à la bande son qui pioche allégrement dans des tubes d'époque faisant souvent mouche !

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SEVERANCE de Dan Erickson.


Severance, ou comment tuer les bullshit job et la biotech en une série absolument hypnotique et vertigineuse.
Jetez vous dessus, le cliffhanger est démoniaque !
Vivement la saison 2...

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DEVS d'Alex Garland.


Autant Garland ne m'avait pas totalement convaincu avec ses deux essais précédents (Annihilation et Ex-Machina).
Là avec DEVS, il grimpe allégrement 3 levels d'un coup !
DEVS est un thriller techno-philosophique impressionnant de profondeur et de maitrise.
L'environnement, tout le "création design", la photographie, l’esthétique globale et le rythme de la série est une pure réussite qui vous happe et vous hypnotise tout du long.
L’interprétation est impeccable et la révélation Mizuno vraiment étonnante d'implication.
Le fond est quasi insondable car vraiment vertigineux, du concept de déterminisme en passant par la réalité quantique en passant par le libre arbitre (ou pas) de chacun, la section Devs de l'entreprise de tech californienne au cœur de cette série est au choix, soit un paradis pour geeks ultime, soit la boite de Pandore Définitive.
Une superbe réussite à savourer en toute tranquillité... god eye is watching you !

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TALES FROM THE LOOP de Nathaniel Halpern.


Voici une petite curiosité, à l'heure des épisodes rythmés à coup de cliffhangers invivables, d'enjeux astronomiques, d'actions toujours plus époustouflantes, TFTL est une série à taille humaine, faite de contemplation et de poésie.
Le loop du titre est en fait le cœur d'une machine - type accélérateur de particules - enterrée sous un patelin ricain bien rural et qui provoque l'incursion d'éclats de future dans une Amérique bloquée entre les 50's et les 80's.
Ces apparitions tech' vont, épisode après épisode, bouleverser la petite communauté campagnarde, à tel point que le plus important au final dans le titre de cette série, ce n'est pas le loop mais bien le tales, ces contes merveilleux et effrayants, ayant pour thématique la solitude, le deuil, l'amour ou la mort... et qui peuvent façonner sans avoir l'air d'y toucher une individualité, voir une vie entière.

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YEARS AND YEARS de Russell T Davies.


Créateur de QUEER AS FOLK (1999) et relanceur en 2005 de l'institution DOCTOR WHO, Russell T Davies nous offre avec Y+Y un rollercoaster émotionnel social et politique épatant !
En mixant avec une intelligence rare tous les événements d'actu d'aujourd'hui (Trump président, vagues migratoires, changement climatique, retour du populisme, techno transhumaniste, homosexualité), Davies conte les joies et les peines d'une famille plutôt progressiste made in U.K. sur une petite dizaine d'année.
La caractérisation des personnages est formidable, la vision d'un futur proche est bluffante ou effrayante au choix, les acteurs sont tous remarquables, c'est ce qui fait la puissance de cette mini série sortie un peu de nulle part.

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EUPHORIA de Sam Levinson.


J'avais entendu parler d'EUPHORIA comme une des meilleurs séries du moment, entouré d'un peu de hype et avec Zendaya, la dernière it-(teen) girl vu dans les derniers Spiderman entre autre... pas vraiment emballé donc...
Mais voilà qu'en fouillant sur la page Wiki de la serie, je vois un nom qui titille ma curiosité... Sam Levinson !
Sam, fils de Barry, est l'auteur d'ASSASSINATION NATION, le film brulot indépendant U.S. le plus emballant de ces dernières années. Je vous invite expressément à découvrir Assassination !
EUPHORIA poursuit l'analyse fouillée et trash d'une jeunesse ricaine biberonnée au désespoir, aux dickpics et aux drogues en tous genres, là où AN s’était arrêtée.
Plus cash, plus viscérale, plus profonde, plus inventive, plus émotionnelle, plus captivante et fascinante, E vous embarque sans ménagement dans la lessiveuse d'une génération 3.0 marchant constamment sur le fil du rasoir.
On n'est pas obligé d'approuver ces teenagers à 100% mais pour mieux les comprendre (en bon boomer que je suis), Euphoria est un excellent début !

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BEEF de Lee Sung-Jin.


Dernière née du studio A24 qui s'associe avec Netflix cette fois ci pour nous offrir une série qui cache bien son jeu.
Ou ACHARNES, qui a l'air de proposer - sous couvert d'incivilités automobiles - un possible pugilat gargantuesque sur 10 épisodes mais en réalité cache une analyse fine et touchante d'une génération d’immigrés qui croule sous le poids d'une société et d'une communauté cannibale.
Leurs aventures sont rocambolesques, sans limites et très drôle (vu de l’extérieur), les acteurs en pleine forme, la B.O. comme souvent est aux petits oignons et la conclusion un poil attendue mais réellement touchante.
Une belle leçon d'amour/haine qui trouve son apothéose dans une empathie fongique viscérale.

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DAHMER de Ryan Murphy.


Comment une série, un portrait de monstre amorale et dégoutant peut se transformer en requiem pour les victimes.
C'est toute la force de la dernière création de Ryan Murphy, qui nous invite à pénétrer dans l'antre de la bête pour mieux détourner notre regard vers les différents écueils qui jalonnent son parcours meurtrier.
Vous aurez la boule au ventre en découvrant tout au long de ces 10 épisodes l’inefficacité crasse et racisé de la police, l'aveuglement conscient ou pas de l'entourage, l'inconsistance des parents, la muflerie des responsables politiques, le terreau bien propice que sont le milieu à la fois gay et black, bref toutes ces choses qui aurait surement limité le nombre de meurtres.
L'empathie dont fait preuve Murphy au travers de certains épisodes (le magnifique 6 tout en surdité) ainsi que le triptyque final est véritablement bouleversants, finissant de consolider le mémorial aux victimes qui attend toujours d’être construit.

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SUCCESSION de Jesse Amstrong.


Bienvenue dans THE snakes pit !
On dit que Succession est le Dallas 3.0 mais dans la série d'Amstrong pas de pétrole, ni de bouseux Texan.
Ici, on suit la famille Roy, magnat des médias ancienne et nouvelle génération, dirigée par un père diminué en début de saison 1 mais qui ne veut pas lâcher la rampe, ce qui a le don d’exaspérer le fils prodigue qui se voyait déjà vizir à la place du vizir.
Ce qui va permettre à Succession de dépeindre une caste de nantis imbuvable, de super riches d'une dégueulasserie d'un très haut niveau.
Le génie de cette série c'est de matérialiser la soi disant "main invisible" du marché, c'est de mettre des visages et des noms au capitalisme, celui qui blesse voir tue des millions de personnes à travers le monde à coups de plans sociaux.
Mais le plus effrayant, c'est de constater que cette même violence les contamines directement au sein de cette famille dysfonctionnelle. Egos surdimensionnés, absence totale d'empathie, calculs sans fin, les 10 épisodes sont une enfilade non stop de réplique façon langue de pute et de plantage de couteaux entre les omoplates.
Acteurs au top, écriture à l'avenant, Succession ne cesse de fasciner tant la bêtise et la cruauté des protagonistes atteins un niveau de brutalité et de raffinement rarement vue chez les 1% qui dirigent le monde.
Pour le meilleur.. et surtout le pire de tout.

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PEACEMAKER de James Gunn.


Vous en avez marre de tous ces films de super-héros hyper léchés, sans aspérités, sans saveur où même les personnages les plus iconiques n’intéressent même plus les "yesmen" à la solde des comptables des studios ?
En ben, James Gunn vous apporte PEACEMAKER sur un plateau !
Amoureux des freaks, à l'instar d'un Burton ou d'un Del Toro, mais avec cette Troma touch' en plus, il est capable de vous embarquer dans une aventure peuplée de teubés, de psychopathes, de laissés pour compte et de réussir à vous attendrir avec.
Sans oublier de parler en la taclant à la gorge au passage, de l'AmeriKKKe d'aujourd'hui, celle des deep states qui votent Trump et se gavent des théories foireuses de Qanon à en dégueuler.
Vous faire rire (ce générique déjà culte), vous toucher, vous faire réfléchir avec un perso qui, pour garder la paix, est pret à flinguer tout ce qui est vivant sur cette planète, il fallait le faire et c'est une belle réussite.
Pour paraphraser le regretté Rick Flag: "Peacemaker... what a joke !"
Eh ouais Rick, et c'est surement la meilleure de l'année.



P.S.: Si vous aimez les femmes ou hommes fort en spandex, n'oubliez pas de mater WATCHMEN la serie ainsi que THE BOYS.

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MINX d'Ellen Rapoport.


Voilà une série que l'on a pas vu arriver !
Minx raconte le parcours semé d'embuches de Joyce Prigger qui veut publier son magasine féministe dans les 70's.
Essuyant refus sur refus, elle se voit dans l'obligation de collaborer avec Doug, roi du mag porno de Los Angeles qui voit dans son projet du potentiel.
Vous imaginez d'ici tous les questionnements et les conflits perso comme moraux qui vont se poser, tous les carambolages de cultures, d'ouvertures d'esprits et de liberté de penser ?
C'est super bien écrit, fin, drôle, sacrement cru, d'une pertinence folle avec des seconds rôles à la hauteur, le tout en étant classe visuellement et chiadé niveau costumes et décors.
Minx est assurément la série qui parle le mieux du rapport Homme/Femme en 2023 tout en se situant en 1971 !

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BARRY de Bill Hader et Alec Berg.


Comment parler du bijou Barry sans spoiler ? Comment vous donner envie de voir absolument cette série HBO, la plus drôle et inventive que j'ai vu ces dernier temps sans vous rebuter ?
C'est l'histoire de Barry (fabuleux Bill Hader), ex marine devenu tueur à gage, secondé par son mentor Fuches (fantastique Stephen Root), qui décide de tout laisser tomber pour prendre des cours d'acting - où il trouve enfin du sens à sa vie - donnés par le plus tricard des acteurs de L.A. (incroyable Henry Winkler)... et ce sans l'accord de son mentor bien sûr.
Exposé comme ça c'est moyennement vendeur, limite tartignole.
Mais une fois enclenchée, la machine Barry (le perso comme la série) est une tuerie démentielle qui atteint des niveaux insoupçonnés.
Complexité de l'intrigue, ramification sans fin, richesse de la narration, inventivité de la mise en scène, puissance et humanité des personnages, sous intrigues et rebondissements permanents, génie du chaud/froid... vous savez, ces enchainements de scènes de tueries qui vous glace le sang pour dix secondes plus tard se plier en deux de rire devant le ridicule du métier d'acteur.
Et bien c'est ça Barry, le sucré de la comédie acerbe et le salé qui picote la blessure par balle, le tout avec finesse et intelligence.
4 saisons pour parler avec humanité du sens de la vie, du bien et du mal, du sens des images, de sa violence et du mensonge d'Hollywood (cette fin magistrale !).
Bref, si vous avez manqué Barry, dommage. Rattrapez vous vite car lui ne vous loupera pas.

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JURY DUTY de Lee Eisenberg.


JURY DUTY, la série rafraichissante du moment, remise à niveau du concept de camera cachée.
JD vous fait assister à un procès à l'américaine à travers le regard de Ronald Gladden, sauf que Ronald ne sait pas que tout est faux.
Hormis lui, tous les autres intervenant sont des acteurs qui suivent une trame principale sensé "tester" tout au long des trois semaines d'audiences Ronald...
Là où réside la force de la série, c'est qu'à aucun moment Ronald ne sera blessé, pris pour un con, moqué ou humilié.
Le candidat issu du casting de 2500 personnes va se révéler être un pur être de bonté et de bonne volonté, quitte à vous foutre la honte par procuration, car à certains moments il est quasi sûr que l'on aurait cancané avec plaisir !
Les huit épisodes évidemment regorge de situations WTF complétement barré, mention spéciale à Marsden (X-Men, Westworld) est son statut d'acteur à la manque, mais jamais Ronny ne trébuche, devenant immédiatement notre meilleur ami pour la vie.
Ce mec est la définition même de l'empathie et dans un monde de télé trash aux programmes tous plus vulgaires et dégueulasses les uns que les autres, Jury Duty vous ferait presque croire en la bonté humaine.
Salutaire.

[iPodz]

TRUE DETECTIVE: NIGHT COUNTRY de Issa Lopez.


Comment renouveler une franchise assez classieuse qui avait emballé (trop ?) dés sa première saison et perdu toujours un peu plus de sa superbe à chaque remise de couverts ?
En déracinant True Detective de son sud natal et son ambiance moite pour le réimplanter dans la glace de l'Alaska, de ce coté ci le pari est réussi. Passer de la lumière aveuglante du soleil de Louisiane à la nuit hivernale sur le cercle arctique pose solidement son ambiance, rude et oppressante, sombre et hostile.
Quand les corps de six scientifiques d'une base de recherche sont retrouvés gelés, agglutinés comme dans une peinture de Bosch par la paire de flics Danvers/Navarro (Foster/Reis impeccables) rattachées au frigo à ciel ouvert qu'est Ennis, on se dit que ça part bien.
Une découverte rappelant les plus belles heures du The Thing de Carpenter, un patelin replié sur lui même, des autochtones en colère contre une mine qui dégueulasse leurs terres, une sororité qui ne demande qu'à naitre, tous ceci est prometteur.
Surtout que la photo est chiadée, la mise en scène correct, le jeu des acteurs convainquant... alors pourquoi suis-je déçu ?
Peut etre à cause d'une résolution des plus déceptive, autant l’attente était grande, autant la chute est rude. Sans spoiler, on a envi de dire tout ça pour ça ?
Et encore, autant l'explication finale est molle du genou mais idéologiquement, la conclusion est des plus malhonnête. Faire des scientifiques les salauds de toutes cette affaire qui ne repose en fin de compte que sur la perversité du capitalisme et la corruption par l'argent provenant du congloméra qui détient la mine est assez dégueulasse politiquement.
La série n’hésitant pas à faire passer l'industrie pour des victimes, les "inuits" pour de dangereux activistes, bref elle voudrait faire le jeu d'un Trump affairiste et discréditant à longueur de tweet la science avec un grand S, elle ne s'y serait pas prise autrement.
Attention, ce True Detective: NIght Country est un terrain sévèrement glissant.

[RASCASSE]

Bonsoir,

Après avoir vu quelques séries citées ici:

FOR ALL MANKIND de Ronald D. Moore et Ben Nedivi.
Et si les Russes avaient posé les premiers le pied sur la lune ?
Voici le postulat de départ vertigineux de cette uchronie quasi parfaite.
Tout dans FAM est fascinant de crédibilité, .................... ce petit bijou de série spatial un peu spéciale risque de vous mettre en lévitation.

Je confirme ce qui est dit ( si cela avait besoin de l'être ).
Une série rafraîchissante, qui mêle la vie de tous les jours, les situations extraordinaires sur fond d'une projection de ce que serait l'histoire si....
Peut être vue sous plusieurs angles et diaboliquement actuelle je trouve.
Plein de sujets abordés, du plus intime au plus "extravagant"..
Si vous avez souvenir de l'actualité d'époque (pour ceux qui était là) ou si vous avez un écho personnel de cette période où les "informations du 20H" n'étaient pas encore des magasines d'informations, alors vous allez vous régaler! Beaucoup de références et d'image d'archives mise à jour selon le sujet de la série.
(petite alerte sur le début de la saison 3 qui a un léger flottement.. pour mieux vous surprendre ensuite.

SEVERANCE de Dan Erickson.
Severance, ou comment tuer les bullshit job et la biotech en une série absolument hypnotique et vertigineuse.
Jetez vous dessus, le cliffhanger est démoniaque !
Vivement la saison 2...

J'étais pas au courant d'une saison II
Regarder cette série sans se questionner sur sa propre approche du monde du travail serait étonnant!



Je ne sais si cela a déjà été posté,
pour ceux qui veulent une série longue (ancienne certes) avec un jeu d'acteur au top et un vrai scénario servi par une mise en scéne/montage top => Mister ROBOT


Belles soirées.

[iPodz]

SEVERANCE de Dan Erickson.
Severance, ou comment tuer les bullshit job et la biotech en une série absolument hypnotique et vertigineuse.
Jetez vous dessus, le cliffhanger est démoniaque !
Vivement la saison 2...

J'étais pas au courant d'une saison II

Oui oui, confirmé au festival Série Mania de Lille... diffusion courant de l'année, deuxième semestre ?

Je ne sais si cela a déjà été posté,
pour ceux qui veulent une série longue (ancienne certes) avec un jeu d'acteur au top et un vrai scénario servi par une mise en scéne/montage top => Mister ROBOT
Belles soirées.

J'en ai parlé dans les pages précédentes de manière hyper positive, voir dithyrambique (ma série préférée toute époque confondue).

[RASCASSE]

Série vraiment génial.
Certainement ma préférée aussi de par l'imagination, l'originalité et la prise de risques !


Là j'ai fini DAREDEVIL, des choses intéressantes. Surtout les acteurs.

[iPodz]

Là j'ai fini DAREDEVIL, des choses intéressantes. Surtout les acteurs.

Daredevil est prévue dans mon calendrier juste pour enchainer sur Punisher (qui y est inséré en saison 2), qui parait-il, est très bon et très sombre (avec un excellent Jon Bernthal)...