Nicolas.D a écrit :Un de mes CDs de référence pour mettre en valeur mon système.
A noter que le niveau sonore d'enregistrement est un poil en dessous du niveau moyen constaté : il faut donc pousser un peu le potard pour en profiter pleinement et surtout le réduire après écoute histoire de ne pas stresser le système (voire la maison) lors des sessions suivantes

Je ne compresse jamais mes enregistrements pour une question évidente de fidélité faisant que dans un enregistrement Passavant la nature réelle du son doit toujours être préservée.
Ainsi, c'est la pointe de niveau sonore la plus élevée du programme, quelle que soit sa durée, qui déterminera le niveau général de la gravure étant donné qu'en numérique il est impossible de surmoduler, faute de quoi la distorsion grimpera immédiatement à 100% (on entend un craquement). Si la dynamique est forte, le niveau général doit être atténué pour éviter la saturation sur les crêtes. Un enregistrement compressé qui n'a pas de crêtes pourra être gravé à un niveau très supérieur mais il ne sera pas naturel.
Dans le cas de Vincent Bidal, le niveau aurait pu être plus élevé, de 6dB au-moins, s'il n'y avait pas eu le solo de batterie du début de la plage 2 dont la dynamique est très élevée.
A la limite, j'aurais pu diminuer le niveau de ce solo, le compresser ou le limiter mais, dans ce cas, le niveau relatif de la musique n'aurait pas été respecté et la batterie aurait perdu en présence. Cela ne correspond pas à l'éthique plutôt janséniste de Passavant. Il s'agissait d'un live que je souhaitais capter de façon aussi réaliste que possible.
Un enregistrement pour lequel il faut augmenter le volume est un enregistrement très dynamique. Baisser le volume signale un enregistrement compressé voire très compressé.
Autre détail: c'est plus près du maximum qu'un potentiomètre de volume stéréo est le plus équilibré.