Bronchite, connais pas ! Pbs articulaires, connais pas !
Cycles et méthodes d'entraînement, PPG, TSS, IF, ATL, CTL, TSB, connais !
Endurance, travail au seuil, développement VMA (courte, moyenne, longue) ce n'est pas nouveau. Sauf les dénominations. Il y quelques décennies l'allure seuil était
résistance et le travail VMA
fractionnė.
Apport d'acides aminés m'en fous, je serai à moins de 120 km d'entrainement hebdomadaire.
Tu peux aussi perdre 3kgs de graisse...
Si je fais ça, c'est l'hosto direct.
mistigri a écrit : ↑29 août 2017, 10:41
C'est vrai que la CAP peut générer des bobos, dont les periostites. Mais j'ai la chance d'avoir une etiopathe extrêmement efficace (moins d'un mois pour me soulager de ça). Et puis on peut aussi limiter la casse en adaptant la foulée (mid-foot ou bare-foot, c'est mieux que sur le talon !)
Modifier son attaque du pied au sol est (relativement) simple (pour ceux dont c'est le talon qui arrive en premier), il faut augmenter la fréquence de foulée. Faire monter la fréquence n'est pas aller plus vite, mais réduire la longueur de pas pour une même vitesse. Ce changement de "faire" fera que votre jambe en suspension (cuisse) va passer devant la jambe d'appui au moment de la prise de contact sol au lieu de traîner à l'arrière de votre axe vertical. D'où prochain appui plus rapide et bassin déjà placé (en appui talon il est à la traîne aussi et il faut le transférer vers l'avant).
Gain en vitesse et oscillation verticale moindre.
À faire avec progressivité sinon vos mollets vous le rappellerons douloureusement.
Un produit intéressant pour developper son travail de pied : FiveFingers V-Run.
** Bannissez les chaussures de CAP avec des amortis excessifs, c'est avec ce type de shoes que se créent le plus grand nombre de blessures.
Un jour que je faisais, sur un terrain fréquenté par des joggeurs et coureurs** de tout acabit, de la PPG (préparation physique généralisée) dont des foulées bondissantes, je croise un groupe de 4 ou 5 (mecs et filles) qui se sont mis à se marrer discrètement en me voyant, genre dans leur tronche "mais qui c'est ce naze ?".
Z'ont moins rigolé par la suite lorsque je leur ai mis plusieurs fois des courants d'air sur le circuit en boucle.
C'est un peu le même mécanisme que le gars qui te regarde avec suffisance au feu rouge parce que son spad est "
10 fois mieux que le tien", gaillard que tu retrouves par hasard quelques kms plus loin et que tu enrhumes dans une côte à 5%. Au passage "
salut ! ", ça fait poto
Code : Tout sélectionner
- TSS : Training Stress Score / indice propre à chaque séance et à chaque athlète en fonction de ses capacités
- IF : Intensity Factor / facteur mesurant l’intensité de travail mais pas la charge car il n’y a aucune notion de temps dans le calcul
- ATL: Acute Training Load / moyenne sur le court terme de la charge TSS journalière. Par défaut la durée est fixée sur 7 jours.
- CTL : Chronic Training Load / moyenne sur le long terme de la charge TSS journalière. Par défaut la durée est fixée sur 42 jours.
- TSB : Training Stress Balance / différence entre CTL et ATL
- - TSB > 0 : L’athlète est reposé, affûté ou en sous-entraînement
- - TSB < 0 : L’athlète est en phase de surcharge* ou en surentraînement.
* Surchage n'a pas ici de connotation négative.
:: Les principes de surcharges et surcompensation ::
La base de l'entraînement physique repose sur le principe de cumul de stimulations dans le temps. C'est le processus de surcompensation par application de surcharges.
Suivant ce procédé, si une charge d'entraînement est appliquée à l'organisme, celui-ci va mettre en oeuvre
des processus de restauration pour retrouver l'état initial du potentiel énergétique.
Si la charge est proche des capacités maximales d'une qualité physique, l'état après restauration
sera supérieur à l'état initial. Si une nouvelle charge est appliquée à ce moment là, le phénomène se renouvellera et le potentiel augmentera
** Joggeurs, ce sont ceux qui courottent. Coureurs, ce sont ceux qui bossent structuré.