Devialet Phantom LA révolution acoustique - WAF !
- Xavier - E&M
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Bon, je déconne, mais qu'on ne se méprenne pas: comme sound system, je pense que Phantom fera le job de manière sérieuse, il a tout pour. Et je pense qu'il aura du succès, qu'il y a un public pour ce nouveau type de produit.
Jusqu'à quelle limite ? suffisamment ? du point de vue économique et entrepreneurial, c'est toute la question.
Car vu les investissements engagés depuis des années, tant que Devialet n'aura pas vendu des wagons de produits, on pourra considérer qu'une bonne proportion du prix des appareils aura été gracieusement offert (ou, disons, financé) par les actionnaires. La réussite de l'entreprise va se jouer sur le nombre de pièces vendues, qui devra être très important, en considérant les sommes mises en jeu, les mises de fond et notamment les coûts de structure que l'on peut supposer lourds vu le nombre de salariés affiché. Dans combien de temps Devialet commencera à gagner de l'argent, et combien, c'est le noeud de l'affaire, et le risque pris par les actionnaires.
J'imagine que c'est aussi pour ça qu'ils ne font pas dans la finesse coté com, et qu'ils choisissent de franchir allègrement les limites de la déontologie dans leurs affirmations, et dans le fait d'utiliser (de détourner la fonction) des médias et des émissions d'information sous influence, à des fins publicitaires.
Sauf que pour une partie du public, le fait que les appareils ne sonnent pas forcément aussi bien qu'annoncé (les écoutes de salons Hi-Fi), que la pub et les messages "d'information" (avec les pincettes) soient aussi arrogants et hautains (et invalidés par les écoutes salons), et cette utilisation massive et abusive des médias d'information (merci au carnet d'adresse et à la puissance des actionnaires principaux), finissent par faire plus qu'agacer et surprendre; certains en sont déjà à la défiance et au rejet, et le disent (voir les forums spécialisés); juste retour de balancier médiatique poussé trop loin dans le fond, et dans la forme.
Jusqu'à quelle limite ? suffisamment ? du point de vue économique et entrepreneurial, c'est toute la question.
Car vu les investissements engagés depuis des années, tant que Devialet n'aura pas vendu des wagons de produits, on pourra considérer qu'une bonne proportion du prix des appareils aura été gracieusement offert (ou, disons, financé) par les actionnaires. La réussite de l'entreprise va se jouer sur le nombre de pièces vendues, qui devra être très important, en considérant les sommes mises en jeu, les mises de fond et notamment les coûts de structure que l'on peut supposer lourds vu le nombre de salariés affiché. Dans combien de temps Devialet commencera à gagner de l'argent, et combien, c'est le noeud de l'affaire, et le risque pris par les actionnaires.
J'imagine que c'est aussi pour ça qu'ils ne font pas dans la finesse coté com, et qu'ils choisissent de franchir allègrement les limites de la déontologie dans leurs affirmations, et dans le fait d'utiliser (de détourner la fonction) des médias et des émissions d'information sous influence, à des fins publicitaires.
Sauf que pour une partie du public, le fait que les appareils ne sonnent pas forcément aussi bien qu'annoncé (les écoutes de salons Hi-Fi), que la pub et les messages "d'information" (avec les pincettes) soient aussi arrogants et hautains (et invalidés par les écoutes salons), et cette utilisation massive et abusive des médias d'information (merci au carnet d'adresse et à la puissance des actionnaires principaux), finissent par faire plus qu'agacer et surprendre; certains en sont déjà à la défiance et au rejet, et le disent (voir les forums spécialisés); juste retour de balancier médiatique poussé trop loin dans le fond, et dans la forme.
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- bleu
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Le plus compliqué de mon point de vue c'est le grand écart entre les ampli et le phantom. Pour les revendeurs de hifi plus traditionnelle ou classique, ce ne sera pas si simple. Et comment ne pas envisager de retrouver le phantom dans les FNAC et autres là où il trouverait idéalement son public et permettrait d'atteindre le volume de sortie espéré ! A l'inverse, B&W a fait le chemin dans l'autre sens et termine par des produits grand public et tout le monde s'y retrouve ... A moins que tout ceci soit fait pour faire un one shoot, à l'instar de Beats qui a pris un Max suite au rachat par Le géant Apple ... Là, oui ça expliquerait tout ou presque 

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D'accord avec vous deux.
Devialet fait du tout azimut sans avoir vraiment fait ses preuves. Même si l'unanimité est chose rare, je ne crois pas qu'une majorité de mélomanes audiophile se soit jamais accordée sur un produit Devialet. La notoriété de la marque est davantage passée par la communication que le savoir faire, a contrario de nombre de nos concepteurs fétiches (demandez-moi des noms), et pas forcément auprès du grand public toujours friand de bidules connectés.
Devialet, peut-être sous la pression des actionnaires, va trop vite.
Quand Cabasse sort son machin sans fil, on se dit "c'est Cabasse, ça doit quand même ressembler à quelquechose".
Un ami, qui pourtant aime le beau son, m'a demandé hier si Devialet était une marque automobile. Il ne fréquente pas les forums.
Bref, un jour peut-être, tout le monde aura un Devialet. Mais ce n'est pas demain.
Devialet fait du tout azimut sans avoir vraiment fait ses preuves. Même si l'unanimité est chose rare, je ne crois pas qu'une majorité de mélomanes audiophile se soit jamais accordée sur un produit Devialet. La notoriété de la marque est davantage passée par la communication que le savoir faire, a contrario de nombre de nos concepteurs fétiches (demandez-moi des noms), et pas forcément auprès du grand public toujours friand de bidules connectés.
Devialet, peut-être sous la pression des actionnaires, va trop vite.
Quand Cabasse sort son machin sans fil, on se dit "c'est Cabasse, ça doit quand même ressembler à quelquechose".
Un ami, qui pourtant aime le beau son, m'a demandé hier si Devialet était une marque automobile. Il ne fréquente pas les forums.
Bref, un jour peut-être, tout le monde aura un Devialet. Mais ce n'est pas demain.
YBA, PEL et PrimaLuna.
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Rico a écrit :Thierry.G a écrit :A moins que tout ceci soit fait pour faire un one shoot, à l'instar de Beats qui a pris un Max suite au rachat par Le géant Apple ... Là, oui ça expliquerait tout ou presque
Enfin ! Ca été long....
Ah ?
Moi, c'est la seule phrase que j'ai pas pigée !

YBA, PEL et PrimaLuna.
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- Audiophile
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- Enregistré le : 19 janv. 2014, 17:16

Rachat, je vois à peu près, one shoot, ça se complique, du moins dans le contexte ...
Les mots, pris séparément, ça va.
C'est quand Thierry les assemble que pépé est largué !

YBA, PEL et PrimaLuna.
- Xavier - E&M
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Bonjour Bruno
Thierry envisage que le projet Devialet puisse être celui d'une start-up type, basée sur un développement technique (circuit d'amplification et autres gestions numériques), du design, à travers une famille d'objets audio marketés, nourris par un furieux développement d'ingénieurs, designers et autres (recours à quelques spécialistes, secondés par une armée de stagiaires et d'emplois CDD), dopé par une com massive mais peu coûteuse (bénéficiant des pouvoirs et de la puissance de feu des grands actionnaires embarqués dans l'aventure), le but final étant non pas de pérenniser la structure et la marque dans le groupe financier initial, mais la valorisation d'un nouveau marché et d'une force de produits qui auraient le vent en poupe, visant la revente de la marque, avec forte marge, à un grand groupe, après début de montée en puissance. (Le "one shoot").
C'est un des scénarios, une des stratégies possibles.
Spéculations, à la lumière des éléments dont on dispose actuellement:
Pour le moment, Devialet semble encore loin de l'équilibre financier (les amplis ne rapportent pas encore ce qu'ils ont coûté), son développement ressemble plus à un pari technologique et financier, de type start-up, avec de fortes dépenses durant les premières années, sans possibilité d'équilibre financier à court terme, puis une prise de position dans le marché Hi-Fi qui laisse envisager la réussite (étape actuelle, et durant les prochains mois ), avec passage espéré à l'équilibre financier, pour ensuite 3 scénarios possibles:
-l'équilibre financier est trouvé, bénéfices en vue:
->l'entreprise engrange ses premiers bénéfices et retours sur investissements, et croit en restant dans les mêmes mains,
->l'entreprise est vendue avec grosse plus-value à un autre groupe financier.
-l'équilibre financier n'est pas trouvé, pas de repreneur ->échec.
A court terme, la réussite (ou non) de Devialet va se jouer sur les ventes de Phantom, et sur le développement des ventes à l'étranger, qui doivent atteindre un sacré niveau; à moins que la marque ne soit dans un processus de course en avant (avec plus grosse prise de risque) avec d'autres projets importants en développement, repoussant d'autant la survenue de l'équilibre financier; si l'engouement autour des produits actuels (amplis et Phantom) tarde à se manifester à grande échelle, ca risque de devenir chaud.
Tout dépend de quand les gros actionnaires attendent et prévoient les retours sur investissements, et si ceux-ci sont conformes aux prévisions.
Thierry envisage que le projet Devialet puisse être celui d'une start-up type, basée sur un développement technique (circuit d'amplification et autres gestions numériques), du design, à travers une famille d'objets audio marketés, nourris par un furieux développement d'ingénieurs, designers et autres (recours à quelques spécialistes, secondés par une armée de stagiaires et d'emplois CDD), dopé par une com massive mais peu coûteuse (bénéficiant des pouvoirs et de la puissance de feu des grands actionnaires embarqués dans l'aventure), le but final étant non pas de pérenniser la structure et la marque dans le groupe financier initial, mais la valorisation d'un nouveau marché et d'une force de produits qui auraient le vent en poupe, visant la revente de la marque, avec forte marge, à un grand groupe, après début de montée en puissance. (Le "one shoot").
C'est un des scénarios, une des stratégies possibles.
Spéculations, à la lumière des éléments dont on dispose actuellement:
Pour le moment, Devialet semble encore loin de l'équilibre financier (les amplis ne rapportent pas encore ce qu'ils ont coûté), son développement ressemble plus à un pari technologique et financier, de type start-up, avec de fortes dépenses durant les premières années, sans possibilité d'équilibre financier à court terme, puis une prise de position dans le marché Hi-Fi qui laisse envisager la réussite (étape actuelle, et durant les prochains mois ), avec passage espéré à l'équilibre financier, pour ensuite 3 scénarios possibles:
-l'équilibre financier est trouvé, bénéfices en vue:
->l'entreprise engrange ses premiers bénéfices et retours sur investissements, et croit en restant dans les mêmes mains,
->l'entreprise est vendue avec grosse plus-value à un autre groupe financier.
-l'équilibre financier n'est pas trouvé, pas de repreneur ->échec.
A court terme, la réussite (ou non) de Devialet va se jouer sur les ventes de Phantom, et sur le développement des ventes à l'étranger, qui doivent atteindre un sacré niveau; à moins que la marque ne soit dans un processus de course en avant (avec plus grosse prise de risque) avec d'autres projets importants en développement, repoussant d'autant la survenue de l'équilibre financier; si l'engouement autour des produits actuels (amplis et Phantom) tarde à se manifester à grande échelle, ca risque de devenir chaud.
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- Enregistré le : 19 janv. 2014, 17:16
Bonjour, Xavier.
Et merci !
Quand c'est toi qui expliques, je comprends mieux.
Ceci étant, et mettant à part la rentabilité actuelle de Devialet, je ne suis pas convaincu du bien fondé d'une opération de ce type sur ce qui reste un marché de niches (ou de dupes mais avec des sous).
Je souscris : on écoule pas dans la même proportion un ampli à 5000 euros ou une enceinte connectée à 2000 qu'un casque pour "djeun's" à 150.
Enfin, il me semble ...
Et merci !
Quand c'est toi qui expliques, je comprends mieux.

Ceci étant, et mettant à part la rentabilité actuelle de Devialet, je ne suis pas convaincu du bien fondé d'une opération de ce type sur ce qui reste un marché de niches (ou de dupes mais avec des sous).
Je souscris : on écoule pas dans la même proportion un ampli à 5000 euros ou une enceinte connectée à 2000 qu'un casque pour "djeun's" à 150.
Enfin, il me semble ...
YBA, PEL et PrimaLuna.
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- Audiophile
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- Enregistré le : 27 août 2014, 10:52
Bonjour à tous,
Je remonte ce post car les premiers CR sur ces enceintes commencent à tomber.
Globalement parlant, en effet, elles sont plutôt faciles dans le registre grave.
Mais équivalentes à une bonne colonne avec des 17 cm, sans plus. On est donc apparemment bien loin des 16 Hz à niveau mais bon, ça on s'en doutait un peu !
Performantes dans la spacialisation ( en stéréo ).
Il en ressort que ces enceintes font de la musique, certes, mais ne sont pas au niveau d'un couple ATOLL/ATOHM GT1 sur les timbres, les nuances et la définition, par exemple.
Un produit très bien ciblé, pratique, design mais dont il ne faut pas attendre la lune non plus, musicalement parlant.
Donc, ça se rejoint avec leur ampli, une com d'enfer et à l'arrivée un produit pas aussi performant qu'annoncé.
A suivre....
Je remonte ce post car les premiers CR sur ces enceintes commencent à tomber.
Globalement parlant, en effet, elles sont plutôt faciles dans le registre grave.
Mais équivalentes à une bonne colonne avec des 17 cm, sans plus. On est donc apparemment bien loin des 16 Hz à niveau mais bon, ça on s'en doutait un peu !
Performantes dans la spacialisation ( en stéréo ).
Il en ressort que ces enceintes font de la musique, certes, mais ne sont pas au niveau d'un couple ATOLL/ATOHM GT1 sur les timbres, les nuances et la définition, par exemple.
Un produit très bien ciblé, pratique, design mais dont il ne faut pas attendre la lune non plus, musicalement parlant.
Donc, ça se rejoint avec leur ampli, une com d'enfer et à l'arrivée un produit pas aussi performant qu'annoncé.
A suivre....
- Xavier - E&M
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- Enregistré le : 23 août 2012, 17:58
Exactement: faut pas oublier qu'à la base, c'est un sound-system: une boi-boite pour faire de la musique de fond à écouter ou à danser entre potes, pas pour pleurer d'émotion devant une interprétation dresse-poilesque. Qu'on essaye de nous communiquer le truc comme le meilleur système au monde (ça transparait encore dans leurs coms *), c'est un peu gros.
* il n'y a qu'à voir le dernier édito de la revue Haute-Fidélité: en écrivant que Devialet était le "nouveau moteur nécessaire et indispensable à notre modeste industrie française du son", pour les autres constructeurs et fabricants, et notamment les autres annonceurs de la revue, il y a outrage, que le rédacteur n'a pas vu ou pas voulu voir, probablement aveuglé par le contrat de pub, qu'il outrepasse largement avec cet édito courtisan, d'une veulerie mêlant ridicule et goujaterie. J'avais jamais vu un truc pareil ! La com Devialet était déjà plus que limite dans la bouche de "journalistes" généralistes aux ordres, mais là, dans une revue spécialisée, c'est oeillères (sur un certain nombre d'éléments pas forcément aussi exacts qu'annoncés) et douches froides lancées sur tous les autres acteurs du secteur. C'est pas le réalisme et la diplomatie qui les étouffent, dans cet éditorial ! On espère au moins que cette méga-gaffe est motivée par l'urgence économique à court terme, et que ça valait le coup, parce que le message passé par la revue aux autres constructeurs, du style "prends ça dans ta face, minus, et regarde les pros faire !", est plutôt mal passé.
* il n'y a qu'à voir le dernier édito de la revue Haute-Fidélité: en écrivant que Devialet était le "nouveau moteur nécessaire et indispensable à notre modeste industrie française du son", pour les autres constructeurs et fabricants, et notamment les autres annonceurs de la revue, il y a outrage, que le rédacteur n'a pas vu ou pas voulu voir, probablement aveuglé par le contrat de pub, qu'il outrepasse largement avec cet édito courtisan, d'une veulerie mêlant ridicule et goujaterie. J'avais jamais vu un truc pareil ! La com Devialet était déjà plus que limite dans la bouche de "journalistes" généralistes aux ordres, mais là, dans une revue spécialisée, c'est oeillères (sur un certain nombre d'éléments pas forcément aussi exacts qu'annoncés) et douches froides lancées sur tous les autres acteurs du secteur. C'est pas le réalisme et la diplomatie qui les étouffent, dans cet éditorial ! On espère au moins que cette méga-gaffe est motivée par l'urgence économique à court terme, et que ça valait le coup, parce que le message passé par la revue aux autres constructeurs, du style "prends ça dans ta face, minus, et regarde les pros faire !", est plutôt mal passé.
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@ Rico: Merci pour ton post. Je me posais précisément la question à laquelle tu viens de répondre : Quitter mon couple ATOLL/ATOHM pour l'orienter vers ces PHANTOM très "sexy". ( je pense du reste être le prototype du "coeur de cible" de p'tits gars du marketing de Devialet). Du coup je pense m'orienter vers l'ajout d'un ou de deux caisson de grave de chez ATOLL comme conseillé par contributeur sur un autre forum.
@Xavier. Intrigué par les PHANTOM j'ai acheté la revue que tu cites. Je confirme. Un léchage de C... En bonne et due forme. Les "belles" en couverture genre dossier spécial, a l'arrivée deux ou trois pages à l'intérieur reprenant la liturgie nationale voir mondiale. Et, tenez vous bien, pas ou peu de mots sur l'écoute.....
Tiens-tiens...
@Xavier. Intrigué par les PHANTOM j'ai acheté la revue que tu cites. Je confirme. Un léchage de C... En bonne et due forme. Les "belles" en couverture genre dossier spécial, a l'arrivée deux ou trois pages à l'intérieur reprenant la liturgie nationale voir mondiale. Et, tenez vous bien, pas ou peu de mots sur l'écoute.....
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// Box Numéricable // Switch D-LINK DGS-108 // NAS Synology DS214+ //
Lecteur réseau/Dac 3D LAB Nano network player -> Cables Link Monitor -> Pré-ampli ATOLL PR300 -> Cables Link Monitor -> Ampli ATOLL AM200 -> Cables hp ATOLL Zef -> Enceintes ATOHM GT1
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- Enregistré le : 29 janv. 2015, 15:19
Pour info :
http://culturehd.com/hifi/devialet-phantom-premieres-impressions_8811
Moins mauvais au final... ???
http://culturehd.com/hifi/devialet-phantom-premieres-impressions_8811
Moins mauvais au final... ???
- Xavier - E&M
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- Enregistré le : 23 août 2012, 17:58
Bonjour
Devialet poursuit résolument sa com mégalomaniaque:
https://www.decideurstv.com/technos-medias/connect/2015/02/10/quentin-sannie-devialet-devialet-l-onde-de-choc.html
On apprend que tout le monde est, bien qu'à priori circonspect, finalement séduit par les écoutes de Phanom (
ces gens là ne lisent pas les compte-rendus sur les forums, ou quoi ?), qu'il y a près de 80 brevets déposés (combien de réellement déposés, c'est à dire validés ? Car les recherches faites par certains internautes ne donnent pas ces chiffres), que la marque est la première à proposer enfin une symbiose réussie entre le numérique ou l'informatique et l'analogique (les autres constructeurs apprécieront le mensonge grossier), et tout à l'avenant (son incomparable, ...).
Bref, même si la marque propose indéniablement un produit atypique dans sa conception et sa technique (ses HP pistons, la forme sphérique, et l'appli spécifique avec connexion communautaire) qui me semblent les éléments les plus remarquables, le reste du discours tient de l'enfumage éhonté, et d'un certain mépris pour les confrères. En celà, la marque poursuit ses exagérations et son matraquage grossier. Phantom tient plus sûrement du "sound system" que du "sound center" sur les qualités strictement musicales de l'objet.
Le conseil reste le même, voyez ce que proposent les autres constructeurs: beaucoup ont la réussite et les performances musicales plus humbles et réelles,
et par ailleurs, leur autofinancement les rend plus sûrement viables à long terme.
Devialet poursuit résolument sa com mégalomaniaque:
https://www.decideurstv.com/technos-medias/connect/2015/02/10/quentin-sannie-devialet-devialet-l-onde-de-choc.html
On apprend que tout le monde est, bien qu'à priori circonspect, finalement séduit par les écoutes de Phanom (

Bref, même si la marque propose indéniablement un produit atypique dans sa conception et sa technique (ses HP pistons, la forme sphérique, et l'appli spécifique avec connexion communautaire) qui me semblent les éléments les plus remarquables, le reste du discours tient de l'enfumage éhonté, et d'un certain mépris pour les confrères. En celà, la marque poursuit ses exagérations et son matraquage grossier. Phantom tient plus sûrement du "sound system" que du "sound center" sur les qualités strictement musicales de l'objet.
Le conseil reste le même, voyez ce que proposent les autres constructeurs: beaucoup ont la réussite et les performances musicales plus humbles et réelles,
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- Audiophile
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- Enregistré le : 08 févr. 2014, 10:46
- Localisation : Bordeaux
Pour les personnes (dont je fais partie) recherchant un rendu de son solide dans les basses, il est à noter la toute récente sortie du kit "Eurus SW" chez atohm. Le kit est présenté et décrit sur leur site... Avec beaucoup moins d'emphase et de faste que chez Devialet. Il est intéressant de noter que pour l'instant je n'ai relevé aucun écho dans la presse spécialisée.
Cependant, et bien que très peu calé techniquement, quelque chose me dit qu'il y a là un sacré matériel...
Cependant, et bien que très peu calé techniquement, quelque chose me dit qu'il y a là un sacré matériel...
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- bleu
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- Enregistré le : 23 août 2012, 17:38
Des news :
Le milliardaire Bernard Arnault (LVMH), le fondateur de Meetic, Marc Simoncini, celui de Vente-privée, Jacques-Antoine Granjon, et enfin le patron de Free, Xavier Niel, viennent d'injecter 25 millions d'euros dans cette « pépite » française spécialisée dans les enceintes de luxe. En novembre 2012, ils avaient déjà apporté 15 millions d'euros à la société, alors âgé de cinq ans.
De 5 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2013, le français espère atteindre les 50 millions en 2015. Pour accélérer son développement, Devialet compte capitaliser sur son gain de notoriété obtenu à Las Vegas en début d'année, et attaquer le marché international. Le fabricant pense aussi décliner son enceinte Phantom en une version moins onéreuse, et nouer des partenariats industriels pour intégrer sa technologie ailleurs.
Source : Clubic Pro
Le milliardaire Bernard Arnault (LVMH), le fondateur de Meetic, Marc Simoncini, celui de Vente-privée, Jacques-Antoine Granjon, et enfin le patron de Free, Xavier Niel, viennent d'injecter 25 millions d'euros dans cette « pépite » française spécialisée dans les enceintes de luxe. En novembre 2012, ils avaient déjà apporté 15 millions d'euros à la société, alors âgé de cinq ans.
De 5 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2013, le français espère atteindre les 50 millions en 2015. Pour accélérer son développement, Devialet compte capitaliser sur son gain de notoriété obtenu à Las Vegas en début d'année, et attaquer le marché international. Le fabricant pense aussi décliner son enceinte Phantom en une version moins onéreuse, et nouer des partenariats industriels pour intégrer sa technologie ailleurs.
Source : Clubic Pro
- Xavier - E&M
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- Enregistré le : 23 août 2012, 17:58
Et ben à mon avis, on n'a pas fini d'en entendre parler ...
Vu ce qu'ils nous ont assommé
de fatuité, déversée à longueur de médias sous influence, avec les 15 premiers millions , il y a tout à craindre pour les 25 suivants !
Ils ont intérêt a avoir du chiffre d'affaire, et surtout des rentrées (sans parler encore de bénef), vu les investissements. Mais une réussite ne se monte pas qu'à coup de sous et de méthode Coué infantilisant le public et lui jouant de la flûte; qu'ils ne tordent pas trop la réalité et leur com s'ils veulent durer (ce que je leur souhaite s'ils font les choses correctement).
Après le développement, et la com, l'outil industriel est actuellement en cours de mise en place en France. C'est du très lourd, à l'échelle d'un marché mondial.
Un peu de modestie (ou plus basiquement de réalisme) dans leurs affirmations publicitaires leur donneraient des aisances supplémentaires, mais ont-ils cette subtilité ? pas jusqu'à présent en tout cas. Et du coup, leur com décalée de la réalité autour de produit Phantom crée déjà des déçus, pour avoir cherché et travaillé intensément une cible qui cherche un autre niveau de rendu que ce que produit la Phantom. A avoir voulu taper très large, en se proclamant abusivement champion toutes catégories coté qualité du rendu, le risque de "remise en place" par le marché (qui n'est pas toujours moutonnesque et bêlant) n'est pas nul. Un marché de masse ne se travaille pas forcément au mieux à la massue.
Vu ce qu'ils nous ont assommé

Ils ont intérêt a avoir du chiffre d'affaire, et surtout des rentrées (sans parler encore de bénef), vu les investissements. Mais une réussite ne se monte pas qu'à coup de sous et de méthode Coué infantilisant le public et lui jouant de la flûte; qu'ils ne tordent pas trop la réalité et leur com s'ils veulent durer (ce que je leur souhaite s'ils font les choses correctement).
Après le développement, et la com, l'outil industriel est actuellement en cours de mise en place en France. C'est du très lourd, à l'échelle d'un marché mondial.
Un peu de modestie (ou plus basiquement de réalisme) dans leurs affirmations publicitaires leur donneraient des aisances supplémentaires, mais ont-ils cette subtilité ? pas jusqu'à présent en tout cas. Et du coup, leur com décalée de la réalité autour de produit Phantom crée déjà des déçus, pour avoir cherché et travaillé intensément une cible qui cherche un autre niveau de rendu que ce que produit la Phantom. A avoir voulu taper très large, en se proclamant abusivement champion toutes catégories coté qualité du rendu, le risque de "remise en place" par le marché (qui n'est pas toujours moutonnesque et bêlant) n'est pas nul. Un marché de masse ne se travaille pas forcément au mieux à la massue.
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